Nouvelle demeure 06
Datte: 14/09/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica
... prendre des gros plans de sa bouche enfouie dans mon entrecuisses.
Je jouis à deux reprises avant qu'ils ne nous laissent en paix.
Sheryl n'avait pas joui.
Ils nous mirent à genoux cote à cote, et ils entreprirent de nous baiser en bouche, échangeant fréquemment leur place.
C'était très pénible pour Sheryl, elle ne parvenait pas à leur prodiguer de gorges-profondes, elle étouffait, crachotait, et pleurait, il était évident que leur plaisir en était décuplé.
Monsieur Taylor se vida les burnes dans ma bouche, j'avalais tout avec facilité. Le concierge résista plus longuement et jouit à son tour dans la bouche de Sheryl.
Elle parvint à reculer la tête et la plus grande part de ses jets spermati-ques explosèrent sur son visage.
Il leva la main pour la gifler, mais monsieur Taylor l'arrêta. Il se recula affichant un sourire démoniaque éclairant son visage. Puis monsieur Taylor m'enjoignit de lécher le foutre couvrant son visage.
Je me tournais pour lui faire face lui tint gentiment la tête, et entreprit de lui nettoyer la figure de la langue. Je léchais même les grosses gouttes qui avaient giclé sur ses miches.
Elle se contentait de pleurer misérablement.
Ils nous intimèrent finalement de nous rhabiller. Je fus prête en un ins-tant, puis j'aidais Sheryl.
Elle était désolée, elle ne parvenait à retrouver ni son soutien-gorge ni sa petite culotte, ils dirent alors qu'elle n'en aurait plus nul besoin, qu'elle se promènerait cul nu désormais.
Je ...
... parvins finalement à la rhabiller décemment avant qu'on ne m'or-donne de l'escorter dans la petite salle de bain de monsieur Taylor pour l'aider à se nettoyer tout en l'amenant à reprendre ses esprits et à se calmer.
Elle commença par me repousser, comme si j'étais de leur coté. Puis je la lâchais et la laissais pleurer tout son saoul. J'aurai voulu lui dire que tout allait bien, mais je ne savais pas comment elle s'était retrouvée à se faire violer dans ce bureau, ni comment cela s'était passé.
J'essayais de lui dire que je savais ce qu'elle avait enduré, que moi aussi j'avais été violée contre ma volonté.
Je lui fis un court résumé de mon histoire, je souhaitais seulement que cela lui rendit la situation moins pénible.
Mais elle ne me répondit pas un mot.
Finalement, elle se laissa nettoyer et rafraîchit son maquillage.
Je retournais dans le bureau de monsieur Taylor, je n'étais pas bien fraî-che, mais j'avais fait de mon mieux en de telles circonstances. La mati-née avait été rude.; monsieur Taylor me fit signe de quitter son bureau je vis avec plaisir qu'il semblait très nerveux. Sapristi ce n'était pas une honte qu'il soit ainsi troublé.
En sortant de son bureau je jetais un oeil sur son horloge et constatais avec surprise qu'il était plus de 14 heures... Et je n'avais pas encore tra-vaillé sur mon ordinateur!
Je gagnais ma stalle et m'assit pendant un long moment sans même mettre en route mon ordinateur. Finalement je me calmais et entamais ma ...