1. Nouvelle demeure 06


    Datte: 14/09/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... Anne.
    
    Mais je sentais cependant qu'elle n'avait jamais roulé de pelle à une au-tre femme et que cela lui était très difficile de s'exécuter docilement.
    
    J'aurai voulu la réconforter, lui dire que ce n'était pas si grave, mais monsieur Taylor m'ordonna de me taire et de lui rouler une pelle.
    
    Aussi me mis-je à lui rouler un patin fiévreux, tandis que nous nous em-brassions, monsieur Taylor saisit ma main et la posa sur sa poitrine. Je faisais de mon mieux pour rassurer la pauvre malheureuse jeune femme. Il était évident que ce qui lui advenait la traumatisait profondé-ment.
    
    J'entendis la porte du bureau s'ouvrir, et le concierge entra et verrouilla la porte dans son dos. Je commençais à me poser des questions au su-jet de cette relation privilégiée qui existait entre ces deux hommes. Je l'entendis se déshabiller, il se posta immédiatement dans mon dos et planta sa grosse pine dans ma chatoune.
    
    Alors qu'il avait entrepris de baiser vigoureusement, monsieur Taylor re-leva la tête et observa attentivement le rictus horrifié alors qu'il se répan-dait dans sa foufoune asservie.
    
    Je continuais à l'embrasser tendrement alors qu'il restait emboîté en elle. Je le voyais river les yeux sur la bite du concierge qui coulissait avec aisance dans ma chatte servile.
    
    Il me frappa soudain que la relation particulière entre ces deux hommes était due au plaisir de monsieur Taylor de voir un homme noir baiser des jeunes femmes blanches rétives.
    
    Il regardait attentivement ...
    ... le concierge et commenta :
    
    - C'est ça mec, Baise-la à couilles rabattues! Emplis sa chatte de salope de semence fraîche! Fais-là se trémousser sous l'emprise de ta grosse bite noire!
    
    Le concierge semblait apprécier ses commentaires et je le sentis se ren-gorger en haussant le rythme et la profondeur de ses pénétrations, puis il bourra sa grosse bite au fin fond de ma caverne et je sus à cet instant qu'il allait jouir.
    
    Tandis qu'il jouissait enfoncé dans ma grotte embrasée, monsieur Taylor me regardait droit dans les yeux se réjouissant visiblement de ma gêne.
    
    Lorsque le concierge se retira, monsieur Taylor m'ordonna de contourner le bureau et de m'étendre au sol.
    
    Dès que je fus installée à sa convenance, il se retira de la foufoune de Sheryl débordante de foutre, et l'amena à s'accroupir sa chatoune ba-veuse frôlant mon visage.
    
    Je n'ai pas hésité, Je ne le pouvais pas.
    
    Je n'avais plus de libre arbitre.
    
    Mais Sheryl résista à quand ils lui pressèrent la tête entre mes cuisses.
    
    Elle a cria, se débattit pour se redresser, les supplia, rien n'y fit. Mon-sieur Taylor recula d'un pas et le concierge lui échauffa les fesse à grands coups de ceintures, elle entreprit misérablement de me lécher la foufoune. Il la fouetta encore à deux reprises avant de se satisfaire de sa façon de faire.
    
    Monsieur Taylor prenait de nombreuses photos avec son portable, per-sonnellement je m'en foutais, mais Sheryl sanglotait misérablement lorsqu'il se pista face à elle pour ...
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