1. Découvertes


    Datte: 14/09/2019, Catégories: f, fh, hplusag, jeunes, extracon, inconnu, nympho, magasin, fdomine, revede, BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, nopéné, Humour revebebe, occasion, Auteur: CannelleS, Source: Revebebe

    ... parti en vrille.
    
    Je crois que c’est le mot « fouille ». J’ai ressenti dans le bas-ventre comme une aspiration. Ou plutôt une onde de chaleur. Mes seins se sont tendus à me faire mal et, le regard brûlant, j’ai dit :
    
    — Ce ne sera pas nécessaire !
    
    J’ai empoigné le bas de mon t-shirt pour le passer par-dessus ma tête.
    
    Ses yeux ont roulé comme des billes de loto derrière ses verres de lunettes et sa bouche s’est ouverte en une espèce de « ô » difforme. Pour plus de facilités, en vue de l’essayage, j’avais laissé mon soutien dans mon casier au salon, je lui offrais une vue trois étoiles au Michelin.
    
    Je ne cherchais pas à me venger, ou à prouver quoi que ce soit, ou à prendre le dessus. Rien de tout ça. Je perdais tout simplement le contrôle de moi-même. Ça devait être une pulsion, la suite de ma vision, je n’en sais rien, mais je n’avais plus qu’une envie : que ce petit agent de sécurité plutôt pas beau, insignifiant, beaucoup plus vieux que moi me baise ! Je dis bien : qu’il me baise ! Je voulais que ce soit bestial, grossier, vulgaire.
    
    Son regard passait de mes seins à mes yeux. La situation lui échappait, ça se lisait sur son visage. Le pauvre gars ne savait plus quoi faire, comment réagir. Quand j’ai commencé à déboutonner mon jeans, après avoir balancé mes baskets, il a pu enfin ouvrir la bouche :
    
    — Mais mademoiselle ! Arrêtez ! Je… enfin… mais vous êtes folle ! Vous ne pouvez pas…
    — Quoi ? Vous vouliez savoir si j’avais volé quelque chose. Eh bien je ...
    ... vous prouve que non, vous devriez être satisfait, n’est-ce pas ?
    
    Puis, quand j’ai sorti la seconde jambe de mon jeans, le gars a commencé à paniquer sérieusement. Pour un peu, il aurait crié.
    
    — NON ! Arrêtez ! Vous êtes cinglée ! Vous ne pouvez pas faire ça ! Et puis, si quelqu’un entrait !
    
    Pour ce que j’en avais à faire ! Comme si j’y avais réfléchi, tiens. Mais lui, oui. C’était clair que si quelqu’un se pointait, le pauvre vieux aurait eu bien du mal à expliquer le fait qu’il se retrouvait avec une jeune cliente en culotte dans son bureau.
    
    En un éclair, j’ai bondi ! Une seconde plus tôt, j’avais saisi son regard qui se posait sur la porte, mais elle était dans mon dos et il lui fallait faire le tour du bureau. Sa tentative était belle, mais j’ai plaqué mon dos contre la porte bien avant qu’il n’y parvienne.
    
    Le souffle court, ma poitrine se soulevant à chaque respiration, je le fixais intensément, d’un air de défi. À tâtons, j’ai cherché la serrure dans mon dos, dans l’espoir d’y trouver une clé. Bingo ! Je l’ai tournée puis lancée dans l’autre coin de la pièce.
    
    Lentement, très lentement, je me suis approchée de lui. Cette fois, il paraissait complètement désemparé. Il a reculé, un peu, jusqu’à ce qu’il touche le mur, acculé.
    
    Il a appuyé ses mains contre le mur quand j’ai posé mon corps contre le sien. Mes lèvres à quelques millimètres de son oreille, j’ai soufflé :
    
    — Si ça se trouve, je suis peut-être bien une sale petite voleuse…
    
    Dans un murmure, ...
«12...789...»