1. Quand ça me prend…


    Datte: 11/09/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Mondoi, Source: Hds

    ... poussa à en parler, c'est plus tard, beaucoup plus tard, à l'époque, j'avais déjà sculpté mon premier gode en bois…
    
    J'en étais à simuler des bronchites et quinte de toux pour envoyer mes copines m'acheter des suppos dans l'espoir qu'une accepte de m'en mettre un sous le prétexte que je n'y arrivais pas seul, peu furent dupes mais deux acceptèrent de jouer à l'infirmière, dont une qui me fit comprendre qu'elle avait comprit en me disant: - Ah t'es comme ça toi…?! cela sentait le sous entendu, les années 70, malgré la libération sexuelle, ne favorisaient pas encore l'idée du massage prostatique, mais je m'en foutais, j'avais eu le droit à son doigt dans les fesses, et de plus, elle revint le lendemain proposer ses soins, c'est à cette époque que je rencontrais Martine, mon initiatrice de l'anal dont je parle ici sur le site, avec elle, tout allait changer pour moi et mon petit trou…
    
    C'est elle qui fut la première à me doigter sans subterfuges de ma part, elle le faisait naturellement et trouvait normal que j'aime cela, elle aussi était sodomite et de son expérience me fit profiter car je manquais de respect dans mes pratiques, allant un peu comme un cheval fou dans le derrière des dames, elle m'imposa le lavement pour que je soit propre lors des ses doigtages et pénétration avec vibro et gode, elle me faisait les miens, je lui faisais les siens, le doute sur ma possible bisexualité disparaissait, preuve en fût le jour où elle me proposa une partie avec un autre couple, ...
    ... elle me fit miroiter une possible relation lesbienne avec la dame devant moi, à condition que je fasse plaisir au mari avec la bouche et avec mes fesses, je refusais tout net et cela mit fin à nos jeux…
    
    Ce n'est que des années plus tard que l'envie de m'en prendre une vraie dans l'anus m'a turlupinée au point de chercher et trouver un gars pour me dépuceler complètement, je dis "complètement" car j'en étais arrivé aux courgettes et que je me disais, pourquoi essayer une vraie verge au point où j'en suis, le premier gars qui est venu pour me le faire en avait une trop grosse et ça ne rentrait pas, faut dire qu'elle me faisait peur et que je craignais me faire déchirer, par contre le deuxième gars en avait une moyenne et c'est bien passé, il m'a besogné doucement puis plus vite et a prit son pied rapidement, j'ai eu un instant la sensation d'être un morceau de viande, un cul à bite, mais bon, j'ai déchargé aussi en me branlant pendant qu'il me faisait le cul…
    
    Et donc voilà, la raison du titre de cette histoire " Quand ça me prend", il est lié intimement à la pulsion incontrôlée que je ressens après de longues périodes d'abstinence anale, l'envie de m'en prendre une dans l'anus, c'est ainsi que dans ces moments là, je suis dispo momentanément pour une vraie sodomie et que je fais ce qu'il faut pour trouver un bénévole de l'enculade, pas forcément homo et surtout pas dominateur, juste un gars qui ne l'a pas fait depuis longtemps ou jamais, avec une queue et pas un manche de ...