1. COLLECTION ESCORTE. Le bon Dieu sans confession (1/2)


    Datte: 08/09/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... je voyais et capote et sperme, je voulais rejoindre Véronique, mais une nouvelle surprise m’était réservée.
    
    Sur mes vêtements et mon sac, cinq billets de 100 € était posé, il m’avait pris pour une pute or le sentiment que j’ai éprouvé à avoir gagné cet argent, pour la première fois par moi-même sans dépendre de mes parents, doublé du plaisir d’avoir joui la troisième fois ou avant de m’écrouler, il m’avait fait mettre à quatre pattes.
    
    Je dis bien à quatre pattes et non pas en levrette, car à ce moment j’ignorais ce mot.
    
    C’est à ce moment que j’ai pris conscience que je lui avais donné mon numéro de portable.
    
    • Je suis rentré par le métro, dans ma banlieue, car le club était fermé, Véronique brillant par son absence.
    
    • Elle était certainement déjà couchée, je l’ai appelée, j’ai eu son répondeur, il était 15 heures quand j’ai été réveillé.
    
    • Pour la première fois de ma vie, j’ai menti, quand je lui ai dit que je m’ennuyais et que j’étais rentré me coucher.
    
    • Comment ne pas croire une jeune femme comme moi à qui l’on pouvait donner le bon Dieu sans confession, mais qui avait perdu son pucelage pour 500 € sans que je lui dise bien sûr ?
    
    Pendant quinze jours aucune nouvelle, j’avais simplement un drôle de sentiment, que devait ressentir les filles qui se prostituaient en connaissance de cause, alors que moi ce n’avait pas été le cas, j’ignorais qu’il croyait que j’en étais une.
    
    Je réfléchissais à ce qu’elles devaient penser au moment où les hommes ...
    ... achetaient leurs corps, j’étais tenté de retourner dans ce club pour voir si malgré ma tenue sexy, mais très simple un autre homme m’aborderait.
    
    J’ai continué ma vie de cour et de travail à la maison, cette première année en médecine étant primordiale.
    
    • Allo, Marie, Paul un ami m’a donné votre numéro de téléphone, je m’appelle Louis, seriez-vous libre ce week-end, je me rends à un séminaire et j’aimerais votre présence, je pense que vous prenez les mêmes tarifs que les autres escortes que j’ai déjà rencontrées, 3 000 ça vous va.
    
    Je n’en croyais pas mes oreilles, le premier client qui n’en était pas un, à qui j’avais donné mon numéro et cet homme, que je ne connaissais ni d’ève ni d’Adam, voulais se payer mes services le week-end prochain.
    
    • C’est parfait, oui je suis libre où se voyons-nous.
    
    • 17 heures au bar de la gare Montparnasse, j’aurais une tenue sport avec un chandail rose posé sur mes épaules, Paul a été si précis, sur votre allure et votre beauté que je suis sûr que je vous reconnaîtrais.
    
    • 17 heures, c’est trop tôt, j’ai cours jusqu’à 15 heures, le temps de rentrer.
    
    • Je comprends, tu fais l’escorte pour payer tes études, 18 heures 30 ça ira !
    
    Deux heures après, j’ai essayé de le rappeler, lui dire qu’il y avait erreur, que je n’étais pas une pute, mais une simple étudiante, il doit-y avoir un destin, car il avait appelé en numéro masqué.
    
    Je suis allée sur Internet pour voir ce qu’ils disaient sur les escortes, j’ai appris beaucoup de choses ...