1. COLLECTION ESCORTE. Le bon Dieu sans confession (1/2)


    Datte: 08/09/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Bonjour, je m’appelle Marie, je sais, je viens d’écrire le début de mon aventure, en parlant du bon Dieu alors que mes parents m’ont appelé Marie.
    
    J’habite chez mes parents d’honorables médecins dans la banlieue parisienne.
    
    19 ans, études de médecine moi aussi, papa souhaitant que je reprenne son cabinet d’ici 10 ans pour qu’ils profitent un peu plus de leur villa sur la côte au-dessus de Nice.
    
    Eh oui, les pauvres, ça paye, car ils sont plus nombreux que les riches, bien sûr, leurs deux salles d’attente sont pleines, je dois la vérité à dire que depuis presque 10 ans, j’entends de moins en moins les cris de plaisir de ma mère dans leur chambre.
    
    Idem pour les endroits insolites de la maison comme la machine à laver dans la buanderie ou un soir ayant la nécessité d’aller aux toilettes, j’ai vu maman les fesses sur la machine en service qui vibrait en même temps qu’elle jouissait, la verge de papa bien ancrée en elle.
    
    De mon côté, dans l’immeuble où ils ont leurs cabinets au rez-de-chaussée et logement au 5e étage, personne ne peut dire qu’ils m’ont vu avec le moindre garçon, je suis considérée par tous comme une petite fille modèle, partant et revenant sagement de la fac.
    
    L’an passé, quelques jours après mes dix-huit ans, Véronique ma copine de lycée a souhaité que je lui serve d’alibi pour aller à un rendez-vous, elle était la maîtresse d’un homme marié.
    
    Ils devaient se retrouver dans un club non loin de la gare de Lyon, ils m’ont laissé à une table avec ...
    ... une bouteille de coca, j’avais autorisation de commander tout ce que je voulais, son amant réglerait l’addition à leur retour.
    
    J’étais assis à regarder les clips sur des télés placés à divers endroits pour que tous les clients en voient un, quand j’ai entendu que l’on me parlait.
    
    • Excusez de vous déranger, puis-je vous offrir un verre !
    
    J’avais remarqué ce bellâtre au bar qui semblait siroter un whisky, je n’en avais pas fait cas et de le voir planté devant moi a été une surprise.
    
    • Je veux bien en tout bien tout honneur, j’attends une amie qui.
    
    • Je sais, elle est partie avec mon ami, je l’attends, moi aussi.
    
    Pour simplifier les choses, de fil en aiguille, nous sommes sorties du club et il m’a emmené dans la chambre de son hôtel à deux pas.
    
    Je dois reconnaître que les quelques slows que nous avions faits m’ont émoustillé et pour la première fois j’ai eu envie de cet homme.
    
    Dans la nuit, il m’a pris trois fois, j’avais perdu la notion du temps et surtout mon hymen, au matin, je l’ai vu s’habiller et comme dans un brouillard, je l’ai entendu dire.
    
    • Tu n’es pas banale, on te donnerait le bon Dieu sans confession, pourrais-tu me donner ton numéro, je te rappellerais.
    
    • 06.
    
    Je me suis levé pour aller me doucher, sur la descente de lit, il y avait trois capotes, l’une d’elles était recouverte de sang, la deuxième un peu moins et la troisième devait être la dernière, car elle était immaculée, mais remplie de sperme.
    
    C’était la première fois que ...
«1234»