1. Une journée sur les chantiers


    Datte: 08/09/2019, Catégories: fh, fhh, fplusag, neuneu, Collègues / Travail facial, Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Zahi, Source: Revebebe

    ... corps, il baisse la tête et se met à inspecter le petit derrière à peine élargi par de toutes petites hanches. Se reculant légèrement, il met un doigt dans sa bouche, puis il l’introduit dans son petit trou. Aïcha sursaute. Une agitation qui a commencé à son derrière, lui traverse tout le corps jusqu’à ses cheveux solidaires qui se mettent à frétiller derrière sa tête. Alors que papa la pistonne, son doigt allant d’un trou à l’autre, le corps arqué d’Aïcha, en extrême tension, frissonne comme l’élastique tendu d’un arc qu’on caresse du bout des doigts. Plus papa la secoue, plus ses gémissements se font plus graves et plus haletés.
    
    Papa se remet debout, la queue dans la main, il pose le gland entre les ourlets de son grand trou. Il la remue à l’entrée de sa grotte puis l’enfonce entièrement d’un coup. Aïcha gémit, presque à pleurer. Papa va-et-vient un moment, Aïcha se dandine à gauche et à droite, ses seins se balancent en dessous d’elle. Elle allonge la tête sur le bureau, les yeux fermés et la bouche légèrement entrouverte, toujours en alternant gémissements et profonds soupirs qui résonnent dans le petit appartement silencieux. Pendant un long moment rien ne trouble l’impétueuse danse de leurs corps dont le rythme, tantôt accéléré et tantôt ralenti, épouse parfaitement la subtile harmonie de leurs grandes carcasses contorsionnées. D’un geste habile et continu, papa retire sa queue et la glisse dans son anus, et les deux corps reprennent leur danse rythmée jusqu’à ce ...
    ... que papa, le visage figé dans une grimace, s’arque sur elle et lui colle au dos. Le corps entièrement raidi et les muscles tendus, il lui dit :
    
    — Ça y est Aïcha, ça vient, j’explose, putain que c’est beau.
    
    Quand papa fait deux pas en arrière, Aïcha se remet debout, la main et une serviette entre les jambes. Ils se rhabillent. Papa me fixe d’un regard poignant, il dit à Aïcha :
    
    — Il a encore tout vu, le Zozou, et je parie qu’il bande.
    — T’es méchant avec lui, Karim, laisse-le tranquille, il est humain avant tout.
    — D’accord, oublions ça. Dis-moi si le comptable est passé.
    — Oui, je lui ai remis tout sur le mois dernier, factures émises et reçues, fiches de paie, relevés de comptes, tout.
    — OK, t’as rien dit sur les nouveaux.
    — Pas un mot.
    
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    Au rez-de-chaussée de la villa à deux étages de Madame Dumont, Vladimir et Mokhtar – les deux employés de la « SARL Zozou Bâtiment » – n’ont pas arrêté de suer depuis plus de deux heures. À dix heures pile, Madame Dumont est partie faire ses courses, alors Vladimir s’est trouvé soulagé de ces yeux qui les épiaient sans cesse. D’un coup de pied, il arrête la ponceuse de parquet qui commençait à le rendre sourd, puis il fixe des yeux la croupe tendue et serré de Mokhtar qui, le corps légèrement courbé, décolle du papier peint à l’aide d’un nettoyeur à vapeur. Bien étouffée par un jean dont les taches de peintures ont complètement envahi le bleu d’origine, elle a l’air d’un ballon qui veut se détacher et partir ...
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