1. Anne-Marie et le vazaha


    Datte: 08/09/2019, Catégories: fh, jeunes, couleurs, vengeance, intermast, pénétratio, init, prememois, Auteur: Seb Le Prestre, Source: Revebebe

    ... de son vagin. Je lui fis des compliments sur son corps, ses seins et ses jambes.
    
    Après qu’elle se fut habillée, je lui proposai mon parapluie pour rentrer chez elle. Elle accepta avec joie et partit dans la nuit, protégée par le large golaz. Ce n’est que longtemps après, alors que je cherchais le sommeil, que je réalisai que c’était une excellente occasion pour elle de revenir me voir. Mais je puis vous assurer, sur l’honneur, que ce n’était pas mon but. Enfin, si vous ne me croyez pas vous n’aurez peut-être pas entièrement tort.
    
    Je fini par m’endormir pour me réveiller juste avant midi.
    
    À mon retour de la popote, je m’allongeai pour faire une sieste. Sous ce climat une sieste est pratiquement indispensable, alors que chez nous elle est simplement agréable. Je laissai ouverte la porte de ma chambre afin de profiter de la fraîcheur du courant d’air.
    
    Je fus réveillé par le contact de lèvres sur les miennes. En ouvrant les yeux je notai la quasi-pénombre de ma chambre. Anne-Marie était penchée sur moi, par l’échancrure de son corsage je pouvais voir ses seins, libres de tout soutien-gorge, pointer leurs tétons vers le bas.
    
    — Je te rapporte ton parapluie, dit-elle sans modifier en rien sa posture. Elle savait ce que je voyais, et visiblement elle savait que j’aimais le spectacle.
    — Excuse-moi de t’avoir réveillé, je peux faire ma sieste avec toi ?
    
    Quelle question ! Je lui fis un peu de place et elle s’allongea. Elle ferma les yeux comme pour chercher le ...
    ... sommeil. J’en fis autant. Je ne tardais pas à réaliser que ce n’est pas le sommeil qu’elle cherchait ! Elle avait glissé sa main dans mon short et empoignait ma bite à pleine main. À travers la peau du prépuce, elle malaxait le gland avec ses doigts. Sans ouvrir les yeux je lui demandai si c’était bien raisonnable alors qu’elle était fiancée, et déjà vengée.
    
    — Maintenant ce n’est pas par vengeance, c’est par plaisir. Tu m’as fait découvrir quelque chose que je veux encore.
    
    Tout en restant couchée, elle se déshabilla. Puis elle ouvrit le bouton de la ceinture de mon short, ceux de la braguette et fit glisser mon short le long de mes jambes. Elle s’allongea sur moi en prenant mon sexe bandé entre ses cuisses. Elle se mit à effectuer un mouvement de bas en haut avec ses fesses. Mon sexe coulissait mal, ce n’était pas très agréable.
    
    — Ce n’est pas comme cela qu’il faut faire, il faut que tu la prennes en toi, ce sera beaucoup mieux.
    — Mais je ne sais pas comment faire !
    — Attends, tu vas voir.
    
    Je pris ma verge et la dirigeai dans son trou. Elle commençait tout juste à mouiller. La pénétration fut nettement moins aisée que la veille. J’y allais doucement pour ne pas la blesser comme son rustre de fiancé. Après un court instant de va-et-vient ma verge entrait et sortait avec aisance de son vagin. Elle recommença le mouvement qui lui faisait plaisir.
    
    — Tu vois, comme cela tu contrôles ce qui t’arrive. C’est toi qui mène le jeu. Tu peux librement accélérer ou ralentir tes ...
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