1. Le marié, les Harley et les percées


    Datte: 07/09/2019, Catégories: fh, inconnu, grosseins, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme piquepince, confession, occasion, Masturbation Auteur: Christophe H, Source: Revebebe

    ... ceux que Karine portait aux oreilles.
    
    Oriane continuait à tripoter son verre de champagne tout en regardant au loin, comme si de rien n’était. Un peu enhardi, je remontai sur le bord de sa fente lisse et douce, me demandant quelle surprise j’allais trouver plus haut. J’étais presque déçu d’arriver au mont de vénus – parfaitement épilé – sans avoir rencontré aucun autre anneau sur ses grandes lèvres, quand je découvris une bille plantée tout en haut de sa vulve, un peu au-dessus de l’endroit où les lèvres se rejoignent. Elle se retourna un peu dans ma direction, et murmura sans me regarder :
    
    — Celui-là s’appelle un isabella, et si tu veux trouver l’autre extrémité il va falloir farfouiller un peu.
    
    En appuyant doucement sur sa peau de part et d’autre de la bille, je me rendis compte que la tige du bijou devait partir « plein sud », en direction de son intimité. Je ne me fis pas prier pour farfouiller, selon son expression, et je pinçai doucement le sommet de sa vulve entre le pouce et l’index pour bien sentir la présence de la tige, et je commençai à descendre. En chemin je croisai un autre anneau, un peu plus petit que ceux des grandes lèvres, qui s’ancrait profondément dans sa chair, à la hauteur du clitoris.
    
    — Celui-là c’est un triangle.
    
    J’entendis à peine ce qu’elle ajouta en soufflant dans ses dents :
    
    — C’est le plus jouissif.
    
    Je finis par trouver l’extrémité de son isabella juste sous son anneau de triangle. La bille de sortie de l’isabella était bien ...
    ... plus grosse que la bille d’entrée, et la bille centrale de l’anneau de triangle venait reposer dessus. Je jouai un petit peu avec son anneau. À chaque mouvement les deux billes s’entrechoquaient, un peu à la manière d’un heurtoir de porte, mais à cause du volume sonore ambiant je ne parvins pas à entendre le bruit que le choc produisait. Oriane resta totalement impassible.
    
    — Tu n’as pas fini, il en reste un, finit-elle par lâcher.
    
    Je posai doucement ma main à plat sur sa vulve pour tenter d’y découvrir le bijou que j’aurais manqué. Mes doigts étaient posés sur les anneaux qui portaient ses poids, ma paume couvrait son triangle, et le haut de ma main appuyait nettement sur la bille supérieure de l’isabella. « Il ne reste qu’un endroit où je n’ai pas cherché », pensai-je. Et au même moment elle confirma :
    
    — Dedans, évidemment, dedans.
    
    Je repliai mon majeur et vins l’enfoncer sans hésitation entre ses lèvres. Et effectivement, j’y découvris immédiatement un anneau de même taille que le triangle, qui semblait sortir de la paroi supérieure de son vagin. Je mis un certain temps à comprendre comment il était installé ; manifestement, il s’enfonçait dans sa peau juste au-dessus de l’ouverture du vagin et en ressortait à l’intérieur après quelques centimètres.
    
    — C’est unprincess albertina, me glissa-t-elle simplement, comme si cela pouvait suffire à m’expliquer son placement.
    
    Je n’appris que plus tard que ce piercing rentrait en fait par son méat urinaire, cheminait ...