1. Le marié, les Harley et les percées


    Datte: 07/09/2019, Catégories: fh, inconnu, grosseins, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme piquepince, confession, occasion, Masturbation Auteur: Christophe H, Source: Revebebe

    C’est au second mariage de François, mon ancien boss, que tout a commencé. J’étais plutôt surpris d’y être invité, à ce mariage. Après tout, même si nous avions été assez proches par le passé, il avait quitté la boîte depuis un peu plus de deux ans et ne m’avait donné aucune nouvelle depuis. Je ne savais même pas qu’il avait divorcé dans l’intervalle… Enfin, suite à son invitation, nous avions repris contact au téléphone, j’avais appris qu’il était désormais installé en Bretagne, qu’il s’était remis à la moto, qu’il avait rencontré sa nouvelle femme dans un club deriders, et qu’à leur mariage il y aurait un grand rassemblement de Harley Davidson et donc plein de belles gonzesses. Étant moi-même amateur de belles bécanes – même si je préfère les sportives japonaises aux américaines asthmatiques – et surtout célibataire récurrent et dragueur impénitent, je ne me fis pas trop prier pour accepter son invitation.
    
    Le mariage avait lieu au tout début de juillet, dans un petit village non loin de la mer. Nous étions quasiment tous logés dans un hôtel situé juste en face de la salle de réception ; tout était donc prévu pour que les joyeux motards puissent aller bien au-delà du raisonnable en matière de consommation d’alcool, sans se mettre en danger sur la route en fin de nuit…
    
    C’est François qui fit lui-même les présentations au moment de passer à table. Je me retrouvais avec un couple dans les trente ans, comme moi, et un autre un peu plus âgé. Il y avait aussi deux très ...
    ... belles plantes, très jeunes, vingt ans ou à peine plus, auprès desquelles je m’imaginais déjà déployer tous mes talents de dragueur. Mais comme les parents respectifs étaient assis à la table voisine et semblaient plutôt du genre étouffant, la tâche s’annonçait délicate. Enfin, il y avait un couple de motardes, que François m’avait décrites en aparté un peu plus tôt. « Tu verras, m’avait-il dit, tu seras assis à côté des deux plus belles femmes de la soirée, mais c’est bête pour toi, car tu n’as aucune chance. Pas une ! Elles sont lesbiennes, homo de chez homo, aucune chance ! ».
    
    Et effectivement, je me retrouvais assis à côté d’Oriane, peut-être quarante ans, magnifique brune aux yeux bleus et à la plastique parfaite. Impeccablement maquillée, les cheveux très longs et ondulés rehaussés d’un petit chignon très travaillé, elle portait fièrement une robe bustier en satin blanc qui dévoilait largement ses épaules et la naissance de ses seins. Bien que de petite taille, sa carrure en imposait ; les muscles de ses bras bien dessinés trahissaient de longues heures passées en salle de gym ou à enchaîner les longueurs de piscine. Elle avait des traits bien dessinés, une peau halée rehaussée de quelques fines tâches de rousseur. Son nez fin et orné d’un petit diamant lui donnait un petit air mutin et juvénile, dont le contraste avec la maturité de son regard et le classicisme de sa tenue n’était pas pour me déplaire.
    
    Mais si Oriane était une très belle femme, que dire alors de ...
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