1. Ma petite fille adorée (1)


    Datte: 05/09/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: MicroBide, Source: Xstory

    ... si j’avais du temps libre, si je pouvais m’occuper de Marie ...
    
    "M’occuper de Marie ? Parce qu’à 19 ans elle ne sait pas s’occuper d’elle-même ?"
    
    "Heu ..."
    
    A la vue de ma tête surprise, le délégué ne savait pas par où commencer pour expliquer ce qu’il devait me dire et qu’il avait très bien compris que moi je ne comprenais pas.
    
    "Et bien M. Jean, Marie est une jeune femme en fauteuil roulant, elle est handicapée moteur.
    
    En effet, elle n’arrive pas à coordonner ses mouvements de manière assez fluide pour lui permettre de marcher et de vivre « correctement »."
    
    Que ? Quoi ? La confusion se lisait sur mon visage.
    
    « Mais comment pourrais-je m’occuper d’elle ? Je ne sais pas faire, c’est un véritable travail, d’autres personnes sont habilitées pour ce genre de problématique, n’est-ce pas ? »
    
    « Oui tout à fait, Marie a besoin d’une aide-soignante et d’autres soins réguliers dont par exemple des séances avec un kinésithérapeute.
    
    Nous pouvons, si vous le souhaitez, vous mettre en relation avec les personnes qu’elle côtoyait déjà ».
    
    Voilà donc où passait l’argent que je donnais à Catherine depuis 1999, qui malgré ses habitudes de droguées, donnait son maximum pour le bien-être de sa fille. Notre fille ?
    
    Ne me voyant pas répondre, le délégué ajouta « Vous savez M., ce genre de nouvelles est très difficile à accepter et il est possible de laisser Marie entre les mains d’une ...
    ... famille qui saura s’en occuper convenablement si vous ne pouvez pas. Nos services pourront lui trouver un lieu où elle pourra s’épanouir et être dans de bonnes conditions.
    
    D’autant plus que votre appartement n’est pas du tout adapté à une personne à mobilité réduite. »
    
    « Je … j’ai besoin de réfléchir, est-il possible de me donner 2-3 jours pour réfléchir à cette décision s’il vous plait ? »
    
    S’en suivirent d’autres questions plus ou moins intéressantes et le délégué quitta les lieux.
    
    Au troisième jour, j’étais face à un sinistre constat : je n’avais pas d’amis ou presque, je ne vivais que pour mon travail et j’avais toujours voulu fuir mes responsabilités familiales et me voilà rattrapé par une de ces responsabilités, 19 ans après.
    
    J’appelai le délégué et lui fit part de ma décision : c’était oui.
    
    Durant 2 semaines, mon appartement était un véritable chantier et après de nombreux travaux (et une petite fortune), tout avait été mis aux normes.
    
    J’étais fier de ce que j’avais commencé à faire mais surtout angoissé pour tout ce que ça représentait.
    
    Fin avril, le délégué sonna de nouveau à ma porte.
    
    "Bonjour M. Jean ! Très heureux de vous voir pour ce grand jour, et très bel appartement !"
    
    Il était enjoué, autant que moi j’étais stressé.
    
    Il passa la porte et s’en alla dans le salon.
    
    Une autre personne suivit, difficilement, dans l’entrebâillement de la porte, c’était Marie. 
«12»