1. Ma petite fille adorée (1)


    Datte: 05/09/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: MicroBide, Source: Xstory

    Bonjour à tous, je vais vous raconter une partie de ma vie qui a chamboulé entièrement mon train-train quotidien de cadre supérieur à Paris,
    
    Pour une question de confidentialité évidente, j’ai changé les prénoms de tous les intervenants, les textes suivants représentent une véritable réalité.
    
    Pour profiter d’un maximum d’immersion par la suite, le début de ce souvenir sera très descriptif, alors accrochez-vous et n’abandonnez pas en route !
    
    Je m’appelle Jean, j’ai aujourd’hui 43 ans, et une vie qui tourne autour de mon travail que j’adore : le marketing dans le monde du sport, impitoyable, plein de défis mais foutrement passionnant.
    
    Je suis très heureux de la vie que je mène, malgré un manque évident de lien social (oui des amis) car toujours en vadrouille, je voyage énormément, je rencontre des personnes influentes et par-dessus tout : je gagne extrêmement bien ma vie.
    
    Deux voitures de sport (à Paris, c’est plus qu’un luxe de nos jours), un 107 m2 dans le 4e arrondissement, j’ai construit cette vie depuis mes 24 ans et j’en suis très fier.
    
    Depuis mes 24 ans car avant cela, j’ai été un jeune étudiant con et irresponsable, entre sortie en boîtes en période d’examen et coucheries avec des filles plus que douteuses.
    
    Et ce qui devait arriver arriva, une de ces filles tomba enceinte juste avant l’obtention de mon diplôme, en plein stage chez Publicis, là où ce que l’on montre comme image fait foi.
    
    Et une gamine au look de métalleuse enceinte ne faisait ...
    ... vraiment pas foi.
    
    J’ai donc passé un deal avec Catherine, la fille à l’époque, je lui versais l’équivalent de 500 euros tous les mois (Publicis m’offrait un job avec déjà une belle rémunération) pour le gamin, puis 800 euros quand j’obtenais une augmentation pour ne plus jamais en entendre parler.
    
    Et ça a marché ! Tellement bien que j’avais presque oublié Catherine, qui n’était qu’un microbe dans mon monde parfait.
    
    Mais ce soir, ce jeudi 5 avril 2018, le passé refaisait surface.
    
    Une lettre de la Protection de l’enfance, une lettre qui n’aurait jamais dû arriver chez moi.
    
    "Bonjour M. Jean,
    
    Nous sommes dans le regret de vous annoncer que Mme. Catherine est décédée le 2 avril dernier des suites d’une overdose.
    
    Comme le stipule le contrat que vous avez signé, vous êtes dorénavant le tuteur légal de Marie.
    
    Un de nos délégués va passer vous voir entre le 6 et le 8 avril 2018 à votre domicile afin de s’entretenir avec vous."
    
    Le reste de la lettre n’était qu’un amas de blabla juridique qui me donnait mal au crâne.
    
    Le soir puis le lendemain, ce n’était que confusion dans ma tête, je n’arrivais pas à réfléchir et à me rendre compte de ce qu’il m’arrivait.
    
    Comme prévu par leur planning, le samedi, le délégué de la Protection de l’Enfance arriva chez moi.
    
    "Bonjour, suis-je bien chez M. Jean ?"
    
    "Oui c’est bien ici et moi-même, entrez".
    
    Le délégué discuta avec moi-même pendant plus d’une heure, de mes habitudes de vie, de mon travail, de mon salaire, ...
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