1. La cité perdue


    Datte: 12/03/2018, Catégories: fh, fffh, Masturbation entreseins, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, zoo, attache, historique, aventure, fantastiqu, Auteur: André 59, Source: Revebebe

    ... le sentier serpentant dans les fourrés en faisant un petit signe de la main. Fusil en bandoulière, Glock au côté, elle avait un indéniable petit air de Lara Croft, mais là on n’était pas dans un jeu vidéo. Personne ne souriait ; il ne s’agissait pas d’une soirée costumée, mais plutôt d’une mission-suicide. Alors qu’elle disparaissait dans l’ombre de la sylve, un garde cracha par terre
    
    — Dommage pour vous, mon capitaine ; elle a vraiment un beau cul. Ces toubabs se croient toujours les plus forts. La forêt va lui donner une bonne leçon.
    
    Le guide se plaça aux côtés de Simon et l’observa. Tous les deux, bras croisés, regardaient la fine silhouette s’éloigner. Il se tourna vers lui.
    
    — Je vous ai entendu lui parler. Je pense que vos Simbas ne seront pas de taille. Ce sont des soldats, pas des chasseurs ; cette terre leur est inconnue. J’ai des amis sûrs que je vais contacter. Dans trois jours je serai de retour. N’entreprenez rien avant.
    — Pourquoi ça, l’ami ? Cette fille ne représente rien pour vous.
    — Elle est plus importante que vous ne le croyez, au contraire.
    
    Pendant ce temps-là, Kate progressait rapidement, suivant une ancienne piste coloniale qui était, de façon surprenante, en bon état. Large de plusieurs mètres, elle permettait à deux véhicules de se croiser. Avant d’être massacrés, les trafiquants avaient fait du bon travail. Malhonnêtes mais soucieux de leur logistique, ils lui avaient littéralement tracé la route et n’y étaient pas allés de main morte ; ...
    ... ils avaient dû utiliser un produit défoliant pour que rien ne repousse.
    
    Sa première nuit se passa sans problème. Elle avait allumé un feu pour éloigner les bêtes sauvages et placé des pièges autour de son bivouac. Le Glock 17 reposait sous son sac transformé en oreiller improvisé. Pour faire bonne mesure, le guide y avait même glissé quelques grenades. Elle ne savait pas les utiliser mais cela pourrait intimider d’éventuels assaillants. Ce pays était décidément un arsenal à ciel ouvert : il n’y avait qu’à se pencher pour se servir !
    
    Elle dormit d’un sommeil de plomb, sans rêves, et se réveilla en pleine forme, étonnée du bon début de son périple. Pas de créature fantastique dans les environs, même la faune habituelle des collines semblait absente de cet endroit. Désormais son GPS ne lui était d’aucune utilité : la canopée bloquait ondes radio et émissions satellite. Rien ne passait ; elle ne pouvait plus compter que sur sa boussole et sur les cartes qu’elle avait dressées à partir des croquis faits par les missionnaires 80 ans plus tôt. Autant dire que repérer des ruines dans cette végétation luxuriante revenait à chercher une aiguille dans une botte de foin ; mais la chance sourit aux audacieux.
    
    Alors, aux premiers rayons du soleil, elle se remit en chasse. Elle disposait de deux jours pour trouver le site. Ensuite, il lui faudrait rebrousser chemin si elle ne voulait pas manquer de vivres. Elle savait tirer mais ne connaissait rien à la chasse. La nuit vint alors ...
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