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A cougouar is born
Datte: 12/03/2018, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme Mature, Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... accoutrement. Nous n'eûmes pas fait cent mètres que je l'embrassais au premier feu rouge. Il fut saisi d'effroi. Ses lèvres étaient charnues et sucrées. Ma main pressant l'endroit particulier du pantalon découvrit que le coquin bandait comme le moindre des hommes. Je lui balançais : »Ton truc a l'air de fonctionner. » J'étais toute ivresse et en mode coquine. A chaque feu j'étais klaxonné par quelque goujat émoustillé semble- t-il par mes cuisses ou mes lourds seins. Je dis à Eric : « Tu vois si tu me dédaignes, d'autres au contraire me convoitent. » Il eût un air benêt et désolé qui me touchât. Je lui dis sans ambages que j'avais envie de lui. Qu'il n'y couperait pas. De toute façon il n'avait pas à se mentir. Il en avait autant envie que moi. La voiture fut rangée sur le bas côté Il eût droit à une pipe d'enfer auquel tout mâle normalement constitué ne pourrait résister. Sa queue était longue et fine. J'avais l'impression d'aborder en une terre vierge. Il me démangeait de savoir si j'étais sa première femelle. Il rougit. Ce que je pris comme assentiment. Qui eût dit un jour que je m'occuperais d'un puceau mignon. Je m'appliquais à faire rutiler dans ma bouche, le précieux objet. Il défaillait. Avait-il atteint déjà à une pareille jouissance ? Sardonique je lui balançais : « Avoue c'est mieux que quand tu te branles pour moi ? « Je le pompais maintenant avec une rare frénésie. Je tins cependant à ce qu'il n'éjaculât pas et se répandit prématurément. Nous parvînmes ...
... enfin au camion à pizzas tandis que sur le chemin je le branlais toujours d'une main. Quatre pizzas furent commandées. Nous devions attendre trois petits quarts d'heure que nous mîmes à contribution. Installée sur la banquette arrière cuisses écartées je l'invitais à entrer en moi et à me bien pénétrer. Nos regards tout autant se pénétraient tandis qu'il œuvrait déjà tout au fond de ma chatte. Nos bouches, nos langues s’entremêlèrent. Nous étions soudés tout à notre fougue. Le petit apprenait vite. Je découvrais ce charme insolite d'un jeune corps un peu inhabile et en cela plus émouvant que tant d'autres fois. Je l'abjurais de se lâcher, de prendre son pied et de disposer de moi comme il voulait. Je ne pus m'empêcher de dire : « Ce soir je suis à toi. Je suis ta pute.» Il éjaculât enfin. Je fis observer que c'était pile poil le moment d’aller quérir nos pizzas. Nous éclatâmes de rire. Sur le chemin du retour c'est lui qui m'assaillait dès à présent voulant à chaque occasion le dévorer la bouche. Il était devenu un diable. Je l'avais transformé. Je concevais cela avec rire et effroi. On devrait ne jamais réveiller un volcan. J'avais surtout peur pas qu'on observât ce changement et le mit en rapport avec moi. Je lui en fis reconnaître le danger surtout rapport à sa copine. Il en convint et se rangeât alors à plus de tenue et de discrétion. Néanmoins il insistât pour que nous poursuivîmes ailleurs les autres jours. Je ne pus que le rassurer et le lui promettre. J'en avais ...