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A cougouar is born
Datte: 12/03/2018, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme Mature, Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... plage. J'escomptais mettre à contribution ces quinze jours. Le programme : sea sex and sun n'était pas vain pour moi. Je ne répugnais pas à me foutre à poil sur le transat certaines a-midi. Je n’avais cure qu'on me lorgnât de loin avec de bonnes jumelles. Au contraire. Cela me gagna l’hostilité je crois irréversiblement de Magalie, la copine de mon petit jeune. Un jour je dis à celui-ci et devant son amie : ça te gêne que je sois à poil ? Il rougit incommensurablement. Façon d'avouer qu'il me lutinait lui aussi. Je triomphais. Quoiqu'il en soit je baisais un peu partout et avec n'importe qui. Des fois cela confinait au n'importe quoi et à la fureur. Un jour par trop seule et affectée d'un mauvais rhume j'avais renoncé à la plage et nanti de médicaments je me morfondais. J'étais comme punie. Loin de la fête. C'était trop bête. Allant mieux je pus me résoudre vers 16H00 d’aller à poil sur mon transat. Le soleil allait je pense ajouter et me revigorer. Je vis en bas sur la pelouse, Armand, un vieux bonhomme qui faisait office en la résidence à la fois de concierge et de jardinier. Il lorgnait je le savais des fois, vers mon balcon. Je crus bon cette fois de lui faire signe. J'improvisais un mensonge. Je lui criais : « l'évier est bouché et mon mari est à la plage. Vous pourriez venir ? » Je lui débitais cela sans mettre un truc sur moi. Je lui exhibait ainsi effrontément tant ma chatte épilée que mes lourds nibards. Le porc ne se fit point prier. Il se rua dans ...
... l'escalier. Je lui ouvris ainsi révélant de go tout mon mensonge. « Excuse-moi Armand mais je m’ennuyais et de toute façon l'évier s'est réparé tout seul. » Il sourit me poussa fermant la porte derrière lui. Il avait ainsi d'autres salopes du même acabit dans la résidence. C'était un des luxes de son emploi. Il était vilain, poilu et avait une bonne grosse queue. J’aimais ce genre de gorille. Il me fourgua sa bite das la bouche et je dus comme à un concours me soumette à cette épreuve. Il me dit : « Pas mal. Tu es dans le top au niveau sucette. » A quatre pattes en levrette il me bourra. Je n'eus pas à le prier pour user de mon petit trou. Me faire enculer signait mon genre salope. Je crois que je fus du coup bien soigné. Mon rhume se dissipa du coup sous les assauts et coups de boutoir. Il éjaculât abondamment sur mon visage. Y essuya sa berge. Il me balança goguenard : A tantôt chère pute ! » J'aimais à la volée débaucher un type et être prise par lui dans un coin. Un garagiste, un gendarme et vendeur de pizza m'avaient ainsi attrapé. J'escomptais qu'ils eussent tous un bon souvenir de moi et qu'ils s'en vantassent auprès de leurs copains. Pour le reste le pote de mon mari à l'insu de son épouse ne se privait pas de m'enfiler à l'occasion. Je n'ai jamais su si mon mari en était dupe. Quoiqu'il en soit mes orifices étaient au quotidien comblés d'une façon ou d'une autre. Là-dedans peu de tendrons. Des vieux vicieux et des étalons experts et forcenés. J'étais pute et ...