La Révélation de Sophie (1)
Datte: 03/09/2019,
Catégories:
Divers,
Auteur: blueyes, Source: Xstory
... dans les collants, elle remporterait aisément le concours de la pouliche la mieux racée ; quant au bassin d’une étroitesse de jeune fille, il s’évase pourtant, sans l’ombre d’un doute, vers une forme de féminité accomplie.
« Autant d’histoires pour si peu ?
— Je… »
La rabaisser toujours plus pour toujours plus la dominer. Il s’approche lentement. Elle recule à mesure, mais est vite acculée contre le mur. Il feint d’ignorer ces manifestations de crainte, et, après avoir posé la cravache sur la table - juste à côté du vibromasseur - leur oppose une voix chaleureuse, réconfortante, encourageante.
« Et bien ! Ce fut laborieux. Tu vois ce n’est pas si terrible que ça. Tu vas vite t’habituer.
— Que voulez-vous de moi ?
— Dans l’immédiat, un café.
— Quoi ?
— Sers-moi un café. Obéis sans te poser de question. Je vais te montrer où est la cuisine. Avance. »
Elle n’est pas aussi prompte qu’elle le devrait. Mais elle s’exécute. Et Phil déguste du regard l’adorable petit cul, musclé et haut perché, qui trottine gentiment vers la cuisine. Le contraste aphrodisiaque entre la cambrure profonde et la courbe inversée d’une croupe rondement potelée est du meilleur effet. Les collants noirs s’arrêtent en haut des cuisses comme pour sublimer encore l’érogénéité du postérieur. Ça donne un petit côté pute-vierge du meilleur effet. Il s’assoit à la table de la cuisine et observe le petit cul vaquer. Même si sa culotte en coton est d’une sobriété exemplaire, même si ...
... Sophie retient pudiquement ses gestes, chaque mouvement l’assigne à la féminité. Le piège serait de l’admirer. Au contraire pour justifier sa domination, il va la déconsidérer. La chosifier. Réduire cette divine humanité à l’état de simple petite nichonne. D’ailleurs, il a hâte de prendre à pleines mains les douces dunes rondes, au jugé un 90B, elles sont à la mesure exacte de ses grosses paluches et les tétons roses indiquent fièrement la direction à suivre ; la modestie de la jeune femelle est tout autant contredite par le balancement hypnotique de sa croupe insolente.
De face, la culotte blanche parfaitement opaque ne laisse pas deviner le dessin du con, mais un renflement trahit non seulement l’abricot mais aussi une touffe de brune qui à n’en pas douter s’annonce assez drue. Et le noir des collants souligne crûment l’exhibition. Quand elle soulève le bras gauche pour attraper la tasse dans le placard, Phil note que la pucelle au naturelle ne s’épile pas non plus sous les bras. Il faudra remédier rapidement à ça. Sophie réduit sa gestuelle au maximum, mais la plasticité adopte cette chair si souple, le cul omniprésent, omnipotent, mène la danse ; dans le sillage de cet arrière train d’enfer, les seins, eux aussi, s’offrent en toute fermeté aux caresses de l’air, ils suivent l’exemple des deux pointes érogènes, plantées en leur sommet et qui, au vu et au sus de tous, insultent l’apesanteur.
Il adorerait pouvoir lire dans les pensées de la vierge. Il devine la honte de ...