1. La Révélation de Sophie (1)


    Datte: 03/09/2019, Catégories: Divers, Auteur: blueyes, Source: Xstory

    ... soupir de soulagement. Elle demande l’autorisation de prendre à nouveau une douche. Refusé.
    
    Il l’accompagne dans le salon.
    
    Remettre ses collants et sa petite culotte souillés d’urine ?
    
    « Tu ne vas quand même pas sortir avec des bas et une culotte pisseuse ? Je les laverai. Tu les récupéreras la prochaine fois.
    
    Le soutien-gorge ?
    
    « Tes tétons sont encore trop à vif pour qu’on les compresse ainsi. Il y a un risque d’irritation, d’inflammation. On va les laisser respirer. »
    
    Elle rechigne mais, comme toujours, s’exécute. Elle a compris qu’il était inutile de discuter. Elle enfile donc sa jupe sur sa chatte à l’air et son pull directement sur ses mamelles. Comme elle pense que la séance est finie, elle se détend sensiblement. Elle est mure.
    
    « Tu es magnifique ma puce. On a juste le temps pour une dernière branlée.
    
    — Oh nonnn, Monsieur !!! »
    
    Mais déjà le vibromasseur s’est faufilé sous la jupe. Sophie résiste à peine. Se dérobe pour la forme. Un pas de côté à droite, puis à gauche, une ridicule esquisse de danse du bassin, vaine et insuffisante pour échapper au contact vibrant. Phil la travaille au corps depuis bientôt quatre heures. Les humiliations, les gifles, la cravache, les branlades à répétition, elle a déjà dilapidé tellement d’énergie. Elle serre instinctivement les cuisses, baroude d’honneur car, trop tard, elle abdique, la boule comme aimantée s’acoquine avec la fente et son cœur de cible clitoridien. Tels des milliers de langues agiles, ...
    ... les bouts érectiles s’agitent, massent, sollicitent toujours plus le bouton de jouissance.
    
    Alors que d’une main, Phil guide le vibromasseur, de l’autre, il tient la jolie petite nichonne par le bras, l’immobilise aisément, sans forcer, il peut focaliser son attention sur l’optimisation de l’exercice de branlage. Des vagues infinies s’insinuent par la fente, fluent et refluent, emplissent le clitoris, la boule épouse, anticipe la demande des lèvres voraces, les minuscules langues irradient dans les profondeurs de la chair ; les couinement puis les cris du sexe, amplifiés par le ventre, répercutés par la gorge, jaillissent des entrailles toujours plus aigus ; le flot noie la jeune femelle, elle est débordée, elle est submergée, veut s’arracher à l’emprise, mais Phil l’accule, accentue la pression du vibromasseur contre le détonateur, elle hurle, elle explose, elle jouit… enfin… Un orgasme impressionnant à observer. Il la lâche ; possédée comme par un tremblement de terre, Sophie s’affale sur le sol, cuisses écartées, elle tressaute, son cul rebondit sur les ressorts que son sexe active en elle, les spasmes se répercutent le long des jambes, la poupée désarticulée agite aussi les bras en tous sens ; ce désordre n’épargne pas le visage adorable, tordu de grimaces pornographiques ; les paupières palpitent follement, les yeux sont d’abord révulsés puis les pupilles se perdent dans l’abîme ; la bouche pulpeuse, en quête d’air, aussi béante que les lèvres d’un con qui supplie la ...