1. La Révélation de Sophie (1)


    Datte: 03/09/2019, Catégories: Divers, Auteur: blueyes, Source: Xstory

    ... irrésistible, de plus en plus envahissant. Son opposition n’est bientôt plus que formel, ses mains enserrent le vibromasseur, ses bras sont tendus mais elle ne repousse plus les assauts de la boule aux hérissons en mousse qui a pris les commandes de son être qui roule le long de la fente en de pernicieux mouvements circulaires, Phil ralentit, accélère la vibration, tourne de plus en plus précisément autour du bouton de jouissance, il sent l’odeur de cyprine monter à ses narines, il est temps d’augmenter encore l’amplitude du branlage, de répondre directement à l’érection du bouton de jouissance, la boule et ces piquants pervers roulent, roulent, roulent, sur ce point névralgique, gonflé, gorgé de sang, alors que la petite nichonne dans une succession de grimaces gémissantes, se tortille frénétiquement, les cuisses n’obéissant plus à sa conscience s’écartent, les genoux se ploient, elle tient le manche de telle sorte que la perspective laisse penser qu’elle dirige la manœuvre et peut-être même envisage de s’enfiler le vibromasseur dans la chatte.
    
    Les contorsions augmentent, preuve qu’elle a franchi un palier. L’odeur de sueur et de stupre deviennent également plus prégnante. Phil cherche la bonne variation. Pour l’amener progressivement à un nouveau stade, il relâche quelques secondes la pression de la boule sur le con, elle pense que la séance est terminée, erreur, il revient à la charge, appuie diaboliquement de nouveau quelques longues secondes, en plein dans le mille, ...
    ... relâche, insiste, relâche, il joue ainsi l’alternance et ça marche, elle monte en gamme, les premiers spasmes apparaissent, « nooonnnnn », elle tortille du bassin comme une possédée pour se dérober. Elle est au bord. Mais s’arque boute encore pour ne pas basculer. Il n’insiste pas pour l’instant. Il sait qu’il s’est encore rapproché du but. Il est tout près. Il la laisse reprendre ses esprits. Il approche un verre d’eau de sa bouche.
    
    « Tiens bois ma puce. Lààà… Comme ça. Dis donc tu étais assoiffée. »
    
    L’eau dans le gosier pour entretenir le feu, le désordre, les chaleurs. Elle a les seins qui pointent, la bouche haletante, les joues rougissantes et la peau luisante de sueur. Son con a bien bavé, la toison est barbouillée de filets de mouille, les grandes lèvres dégorgent et baillent, les nymphes elles aussi sont entrouvertes comme si elles réclamaient, affamées, qu’on les remplisse. Il lui caresse tendrement les joues, la transpiration a collé les cheveux aux tempes, par tous les pores elle exsude le sexe.
    
    « Tu y es presque ma puce. Ne retiens pas l’orgasme. Tu vas voir comme c’est bon.
    
    — Monsieur, j’en peux plus.
    
    — Justement, laisse-toi aller. Arrête de lutter contre toi-même. Ça ne sert à rien. On va finir par y arriver. Ça prendra le temps que ça prendra, mais on va y arriver ».
    
    — Monsieur, je vous jure que je dois rentrer chez moi.
    
    — A quelle heure ta maman t’attend ?
    
    — 14 h. »
    
    Il est 13h 30.
    
    « Bien. Viens te rhabiller. »
    
    Elle pousse un ...