La Révélation de Sophie (1)
Datte: 03/09/2019,
Catégories:
Divers,
Auteur: blueyes, Source: Xstory
... la cravache :
« Il faudra aussi que tu apprennes à manger proprement, ma puce. Mais nous avons fini l’assiette. Tu peux débarrasser maintenant ! »
Phil sent que la petite pouliche est sur le point de craquer. Il est indispensable de lui apporter un brin de réconfort.
« Bon, quand tu auras fini la vaisselle, je t’autorise à prendre une douche. Tu pues trop. Tu ne vas quand même pas rentrer chez toi dans ta culotte pisseuse. Les gens dans la rue pourraient te confondre avec une cuvette de chiotte tellement tu empestes. »
La jolie nichonne encaisse, reste sur la défensive, craint un nouveau piège.
« Qu’est-ce qu’on dit Sophie ? »
Le ton s’est fait menaçant. Elle a compris le principe d’humiliation.
« Merci.
— Merci qui ?
— Monsieur…
— Alors dit le correctement !
— Merci Monsieur.
— Une vraie petite mule. Mais ça finit par rentrer, pas vrai ? »
Badine à la main, il la suit alors qu’elle trottine vers la salle de bain. Comme pour accélérer la cadence, Il tapote la lanière de cuir dans sa paume, il accentue ainsi le mouvement provoquant des cuisses dans leur fourreau en coton noir et, conséquence logique, le balancement du bassin s’en trouve d’autant amplifier, il n’y a pas à dire, la croupe de la petite pouliche est encore plus affriolante au trot qu’au pas.
Dans la salle de bain, elle comprend qu’elle va devoir exhiber son entière nudité, s’offrir à la vue du vicieux pendant qu’elle se douche. Elle tente :
« Monsieur… J’aimerai… avoir ...
... un peu d’intimité… »
Il éclate de rire :
« Tu n’as rien à me cacher, ma puce. Tu aurais un trésor, que je ne devrais pas voir ?
— Monsieur, je vous en supplie…
Le tapotement insistant de la cravache contre l’arrière train clôt la négociation. Tel un métronome, la lanière de cuir bat la mesure contre le cul rebondi :
« Déshabille-toi ! Plus ! vite ! que ! ça ! Sophie ! »
Mais blocage. Tétanisée. Elle est vraiment terrorisée à l’idée d’exposer son sexe. Elle anticipe sans doute le viol. La manière forte serait contre-productive. Phil, change encore de stratégie, il ouvre sa main non pas pour gifler mais pour effleurer tendrement la joue de velours et d’une voix paternelle et réconfortante :
— N’ai pas peur. Je ne veux que ton bien. Tu ne vas quand même pas mariner toute la journée dans ta pisse ? ça te plait de puer comme ça ? Non ! Alors ? Si je voulais te baiser, crois-moi que tu y serais déjà passée. Cesse de faire ta mule stupide et obéis gentiment. Tu te sentiras tellement mieux après et tu éviteras d’être corrigée. De toute façon, tu finiras par obtempérer. Autant que ça se passe en douceur. Tu ne crois pas ? »
Elle est si déboussolée, elle n’a plus aucun repère. Il est devenu son seul point d’ancrage. Il poursuit sa litanie sur un ton aussi apaisant que le mouvement de son index boudiné qui patiemment caresse le visage :
« Ce n’est rien du tout de me montrer ton con et ton cul, ma puce. Tu vas tout me montrer de toute façon. Tu n’es rien sans ...