Léa, Chloé, Marie, Mathilde et les autres… (2) - Histoires de Sexe

Léa, Chloé, Marie, Mathilde et les autres… (2)

... se précipite dans mes bras. Tout en l’embrassant je la fais tourner sur le côté afin d’accéder plus facilement à son sexe que je pénètre avec mes doigts. Elle s’abandonne. L’une de ses menottes caresse ma verge qui durcit sous cette action. Nos dents s’entrechoquent, nos langues se mélangent dans un baiser furieux. Index, majeur, annulaire groupés je branle son point G à la vitesse maximum. Ses yeux se ferment, son cœur bat la chamade. Elle se libère de ma bouche et pousse un cri sauvage. J’accélère le mouvement encore et encore. Elle hurle que je lui fais du bien, qu’elle me veut en elle. Elle jouit une première fois mais je ne lui laisse aucun répit. Je l’attaque désormais des deux côtés. L’index de mon autre main s’introduit dans son anus que je prépare pour un futur proche. Elle est surprise par cette action ; son Hugo n’avait jamais dû oser ce genre de caresse.

Elle m’en fait part crument :

— Tu veux aussi baiser mon petit cul ?

— Je te l’ai dit. Je veux tout de toi. Ta bouche je l’ai déjà eu. Ta chatounette je vais l’avoir. Ton anus y passera aussi. Tes seins je les transpercerai de mon vit et je juterai sur eux.

Elle entre en pâmoison car je n’ai pas arrêté les attaques dans son vagin. Ses chairs intimes sont écartelées au maximum de leur possibilité. Mon pouce dégage son clitoris et tournoie autour. S’en est trop pour elle, un nouvel orgasme se déclenche. C’est un vrai festival de jouissance qui l’anime.

Il est temps pour moi de passer à l’étape ...

... suivante et de consommer cette relation incestueuse qui s’est révélée à moi.

Je la mène jusqu’au canapé et je la penche sur le dossier. Mon pénis durci au maximum glisse dans la raie de ses fesses. Je lui écarte les cuisses, mon gland se place à l’entrée de son vagin ruisselant. Il n’a aucune peine à y faire son chemin. Je m’arrête là et j’attends. Léa est frustrée et le fait savoir en poussant son cul en arrière pour que je m’enfonce en elle. Je ne réponds pas à sa demande et je me retire. Je fais durer le jeu quelques minutes. Ma petite sœur réclame son dû.

— Prends moi frérot. J’ai trop envie de toi.

— Tu l’aimes ma verge petite salope ? Depuis combien de temps tu en rêvais ?

— Depuis que je l’ai vue pour la première fois le jour où Hugo m’a dépucelée. Je t’ai épié pour comparer sa bite avec la tienne. Depuis j’en rêve… Baise-moi fort ! Défonce-moi comme tu l’as fait dans ma gorge tout à l’heure.

Je dois l’exciter encore et j’accentue mon « teasing ». Mon pénis gorgé de sang pénètre un peu plus sa matrice. Elle halète et me montre qu’elle en veut plus jusqu’au moment où, ne s’y attendant pas du tout, je m’enfonce en elle d’une seule poussée jusqu’à toucher son utérus. Elle pousse un hurlement de bête qui fait monter mon taux d’adrénaline brutalement dans mon corps. Je me déchaine sur elle en enserrant ses seins qui me servent désormais de poignées. Mon vit va massacrer sa chatte pendant plus d’une demi-heure dans cette position. Léa enchaine orgasme sur orgasme. Je ...