Léa, Chloé, Marie, Mathilde et les autres… (2) - Histoires de Sexe

Léa, Chloé, Marie, Mathilde et les autres… (2)

Elle est là, abandonnée, sa tête reposant sur le canapé. Je la domine de toute ma hauteur. Elle lève ses mains vers mon vit et le caresse tendrement. Une goutte de pré-sperme suinte de mon méat urinaire. Elle la récupère avec son doigt qu’elle suce avec délectation.

Pour lui faciliter la tâche je me baisse et approche ma bite de sa bouche. Je la frotte sur ses lèvres, puis alternativement sur chacune de ses joues. Elle tourne son visage et gobe mon gland turgescent afin d’en évaluer sa grosseur. Sa langue tourne autour une fois l’intromission effectuée. Je sens des décharges électriques parcourir ma verge. C’est dément ce que je ressens à l’idée que je suis en train de posséder ma petite sœur pour la première fois. Trivialement, je vais lui « baiser la gueule » avant de prendre sa petite chatte puis certainement son petit cul. Elle est désormais à moi. Je ne lui ai rien proposé ; une heure avant cette idée était loin de mes fantasmes les plus courants ; c’est elle qui l’a voulu.

Lentement mon pénis s’enfonce pour atteindre le fond de sa gorge. Je fais une pause pour lui laisser le temps de s’habituer à sa grosseur. Léa bave et hoquète. On voit qu’elle n’a pas l’habitude de ce genre de traitement. C’est probablement la première fois que ça lui arrive. Ses yeux sont remplis de larmes. Ça redouble mon désir. J’accentue ma pression et j’atteins sa luette. Elle tousse en réaction à cette pénétration. Je la calme par des paroles apaisantes et je reviens à la charge. Avec ses ...

... mains elle prend le contrôle de mon corps pour mieux ajuster mon intromission. Elle a compris instinctivement ce qu’elle devait faire pour me faciliter la tâche en ajustant correctement sa tête. Cette fois-ci elle m’accepte et je peux atteindre le début de son œsophage. Par de lents mouvements je vais alors la coïter jusqu’au moment où, ne pouvant plus tenir, j’éjacule dans son gosier. Je me retire alors progressivement pour la laisser respirer et lui laisser le temps de gouter mon sperme.

Je la relève alors et la serre dans mes bras. Nos lèvres se rejoignent. Elle gémit et me dit :

— Le moins qu’on puisse dire c’est que tu m’as fait payer cher le départ de notre liaison, frérot. J’ai failli étouffer tant tu étais vigoureux. Tu as une belle bite. J’ai hâte de l’avoir en moi tant je suis frustrée. Regarde comme tu m’as fait mouiller ! dit-elle en me prenant la main qu’elle dirige à l’entrée de sa chatte.

— C’était le prix à payer pour m’avoir ma chérie. Toutes mes copines ont eu le droit à ce traitement dès le début. Certaines l’ont accepté, d’autres pas et notre relation c’est arrêté là. Je suis un dominant et je ne veux que des soumises. Es-tu prête à l’être ?

— Oh oui j’ai trop envie de ta queue. Prends-moi je n’en peux plus ! Fouille-moi de tes doigts ! Baise-moi !

— Attends-moi une minute, je reviens.

Je vais dans ma chambre et j’ajuste sur mon sexe un cockring. Je vais désormais pouvoir être endurant. Une fois équipé, je la rejoins dans le living. Elle ...