Black is beautiful (5) La fille de l'air et la mante-religieuse
Datte: 11/03/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Jolasuce, Source: Hds
... restée, après une première baise plénière, elle s’est endormie, pas moi, je n’avais plus de réveille matin et je ne voulais pas me faire surprendre avec elle sortant de ma chambre au lever du jour. De peur de m’endormir et de me réveiller trop tard, j’ai bouquiné toute la nuit, et quand l’envie me prenais, je la pénétrai à nouveau, j’ai dû faire l’amour cinq ou six fois dans la nuit et à cinq heures du matin, je l’ai invitée à quitter ma chambre, ce qu’elle fit sans problème.
J’ai eu l’occasion de la croiser un jour, j’étais en voiture, nous sommes allés sur une plage déserte pour nous emboîter l’un dans l’autre sous un soleil de plomb à l’ombre des cocotiers.
Puis, elle s’est envolée de ma vie, Made est vraiment une fille de l’air.
Je complète cette histoire avec Germaine, une jeune fille aux longues jambes et aux bras démesurés, filiforme mais avec une poitrine imposante et un cul dans les mêmes proportions. Je l’appellerais “la mante religieuse”, non parce qu’elle bouffe le mâle accoupleur mais à cause de ses formes, une tête mignonne et juvénile qui se détache, par un long cou, d’un corps fin avec deux énormes mamelons et un derrière de callipyge. Fille de la campagne, elle était au service d’une famille. J’ai eu l’occasion de l’aider dans sa formation et pour cela je me tenais derrière elle pour guider ses gestes, son postérieur frôlait très légèrement mon pubis et ma queue s’est vite redressée sentant une nouvelle occasion de conquête. Pourtant, je ne ...
... laissais rien paraitre et continuais à dispenser ma formation pudiquement, mais bouillonnant dans mon for (froc) intérieur. Malgré l’envie de découvrir cette opulente poitrine et explorer ce cul superbe, je ne laissais pas mes mains vagabonder. Tout était très chaste dans nos échanges.
Le soir venu, la formation achevée, satisfait d’avoir poussé à l’extrême la jouissance du désir mais sans rien faire qui puisse trahir mon envie folle de lui faire l’amour, je m’apprêtais à regagner mes pénates et là, elle me demande de lui montrer ma chambre. C’en est trop, je l’emmène en voiture jusque chez moi et dans la chambre, sans un mot, je lui ôte le haut et fait tomber son pagne. Elle est en slip, un collier de perles autour de la taille, sans doute des gris-gris de protection ou de fertilité, je ne sais et ne lui ai pas demandé. Je la couche sur mon lit, fait glisser sa culotte et j’admire enfin cette poitrine rebondie et généreuse. Mes vêtements sont tombés sans que je n’y prenne garde. elle est là offerte à mon regard et mes caresses, jambes allongées. Sa peau n’est pas aussi belles que celles de mes conquêtes passées, par contre son pubis est habillée d’une touffe crépue d’une douceur incroyable, je n’avais jamais touché de foufoune crépue aussi délicate que de la soie. Ma bouche se dirigée vers son mont de Vénus, mais, par une réaction vive, elle se refuse à ce baiser nuptial de son pubis. Je m’allonge sur elle avec l’espoir d’une nuit d’amour sans fin; à peine ma peau a-t-elle ...