Black is beautiful (5) La fille de l'air et la mante-religieuse
Datte: 11/03/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Jolasuce, Source: Hds
Poursuivant mon sexe-tour africain avant de rejoindre la France, je veux évoquer deux figures particulières de mes aventures sexuelles. Madeleine, la fille de l’air et Germaine la mante-religieuse.
“Elle est libre Made, certains même disent qu’ils l’on vu voler”, la parodie de ce chant la définit bien. Oui, elle est libre, c’est une fille un peu, même beaucoup, dérangée du cerveau, sans doute une intellectuelle qui a craquée et laissé sa famille pour vivre en toute liberté dans la rue. Souvent elle est venue dormir dans la concession qui n’était pas fermée. On la voyait pendant quelques jours puis elle disparaissait tout aussi subitement, pour réapparaître bien plus tard. Elle est libre Made.
Elle se disait parfois la femme d’un de mes collègues, à un autre elle lui a dit que, mariés ensembles, ils n’auraient que trois enfants sans pour autant mettre en danger le foyer ni même éveiller le doute chez l’épouse. Étrange, moi, le célibataire qui ai couché plusieurs fois avec Made, je n’ai jamais été affublé du titre de mari ou d’époux !
Cela faisait longtemps que je la croisais, elle m’appelait ”M’sieur Joseph”, la toute première fois a eu lieu un soir ou plutôt une nuit. De retour tardif à la maison, j’aperçois dans la concession sur la table de pique-nique en béton, une forme, comme un tas de pagnes posés négligemment. La lumière du lampadaire de la rue n’éclairant pas suffisamment pour reconnaître une personne. Je monte dans ma chambre, me mets à nu et me ceint d’une ...
... serviette éponge avant de redescendre pour prendre une bière fraîche dans le frigo. Au moment d’ouvrir la porte de la cuisine, j’entends une voix qui m’interpelle : “M’sieur Joseph” aussitôt je reconnais Made. Elle est debout près de la table, les bras écartés, tenant les deux extrémités de son pagne ouvert, unique vêtement et s’offrant toute nue à mon regard. En manque de sexe, mon retour tardif était dû une chasse infructueuse “à la Salope” comme dirait Bigard. Retour bredouille avec des couilles pleines qu’il me faudrait vidanger à la main. Et voilà, une apparition, Made offerte, nue. Au lieu de la rabrouer, je m’approche d’elle et je l’enlace sous son pagne, elle aussi me recouvre de celui-ci avec ses bras. Mes mains commencent à explorer ce corps nu et si doux aux caresses. Je plonge, ma tête dans son cou et je dépose un baiser plein de promesses mais aussi plein de désirs. Mon sexe s’est vite tendu à l’idée de d’explorer une nouvelle grotte d’amour. Je suis plaqué contre elle, mon sexe a trouvé la fente de ma serviette et se colle contre son pubis. Je commence à onduler contre elle, de son côté elle s’appuie sensuellement contre ma poitrine, la sienne tombe, elle a été maman et a sans doute allaité avec ses mamelles tirées et triturées, qu’importe la beauté d’une poitrine tombante, le reste est si doux et si envoutant avec son odeur de feu bois si caractéristique des cuisines traditionnelles. Ce frotti-frotta sensuel me satisfait pour l’instant, et je le prolonge, mais ...