Dans un cul déjà humide
Datte: 02/09/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Partouze / Groupe
Inceste / Tabou
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... volume. Les vibrations se transmettaient au bassin d’Anne, ce qui l’a fait jouir à son tour, d’une manière tout aussi humide. Nous, les gars, nous nous branlions, inspirés par ce beau tableau lesbien. Nos femmes étaient magnifiques.
Les deux éphèbes, qui dans leur ardeur juvénile n’étaient pas du tout rassasiés de sexe, ont voulu baiser ma femme qui leur a aussitôt donné son accord. Après la libération de Laurence, ce fut donc Anne que s’est retrouvée attachée sur la table basse pendant que Bob et Lucas sa tringlaient en même temps et que Laurence lui chatouillait les pieds, afin de se venger d’avoir été farcie saphiquement. Ma pauvre épouse, qui est très chatouilleuse, n’en pouvait plus et a supplié sa coquine tortionnaire de cesser ce supplice podal. Laurence a continué quand même pendant quelques minutes, car Anne n’avait pas prononcé le mot de sécurité ; elle aimait particulièrement qu’un la fisse érotiquement souffrir, quitte à se tortiller comme une désespérée. Puis Laurence a changé de bourrèlement en pissant dans la bouche de sa très consentante « victime ». Je me suis levé pour l’imiter, car je sais que ma chère Anne adore la douche dorée, que nous pratiquons souvent au cours de nos randonnées estivales en montagne. Son maquillage, qui était au départ impeccable, en fait les frais, à cause de la dilution du mascara et du rouge à lèvres dans l’urine qui par flots arrosait le charmant visage, ce qui a quelque peu contrarié mon épouse, toujours soucieuse de ...
... l’élégance de sa tenue.
Pendant ce temps, les garçons ont éjaculé dans les orifices accueillants de ma femme, puis se sont retirés dans des bruits de bouteille que l’on débouche tellement la zone était détrempée. Laurence s’est ensuite mise à genoux afin de laper dans le sexe bien poilu d’Anne – une vraie forêt vierge dans laquelle j’aime tant me perdre et l’y retrouver ! - d’abord d’un cunnilinctus, puis d’un anilinctus. Le vagin était si bien rempli de sperme qu’un filet de nectar blanc en débordait ; le sphincter anal aussi. En se servant de sa bouche comme d’une ventouse, la coquine a tout aspiré et bu avec gourmandise, en plus des abondantes glaires de femelle en chaleur et de la mouille qui giclait lorsqu’elle jouissait sous l’effet des lèchements. Le fait d’avoir été préalablement chatouillée l’avait tellement bien érotisée que des orgasmes successifs déferlaient sur elle sans diminuer en intensité. Il y avait là tout un délicieux cocktail de substances intimes dont mon amie se régalait pendant que son fils Bob, qui bandait encore tellement il avait faim de femmes, la sodomisait en levrette en l’attrapant par les hanches ; c’était un beau spectacle de voir à quel point il s’enfonçait profondément dans le boyau de sa mère, ressortait complètement son énorme engin tout enduit de miasmes intestinaux et de foutre mélangés, avant retourner gaillardement fourrer le trou béant en poussant des « han » à chaque engagement. Dans l’effort, il poussait des cris de combat pour se donner ...