1. Dans un cul déjà humide


    Datte: 02/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Partouze / Groupe Inceste / Tabou Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    Ce que j’aime particulièrement lors des nuits de luxure passée en compagnie de l’une de mes maîtresses, c’est que les cavités de celles-ci soient abondamment garnies du foutre d’autres gars au moment où je les pénètre. Que ce soit leur cul, le vagin ou leur bouche, c’est toujours un délice de découvrir que ces zones paradisiaques sont déjà humectées de nectar masculin.
    
    Laurence était particulièrement excitée ce soir-là – comme nous tous, d’ailleurs : l’air était doux et appelait au mélange des sexes. Nous étions trois hommes et une femme autour de cette maman quinquagénaire bien disposée à passer une bonne soirée avec nous. Elle s’est rapidement laissé dépouiller de sa culotte et des autres vêtements, afin d’exposer à nos regards émerveillés tous ses charmes matures. Elle avait de volumineux seins tombants avec de grandes aréoles brunes, et une croupe très bandante, avec des fesses confortables à souhait. Son mari Bernard était présent, et disposé à partager sa moitié avec ses collègues et amis. Anne, ma femme chérie et la mère de nos enfants, était là, tirée comme toujours à quatre épingles.
    
    Les bouteilles de bière étaient restées, pour la plupart, au frigo, car nous n’avions pas besoin d’alcool pour nous exciter comme des fous sur une aussi jolie partenaire de jeux érotiques. Nous, les hommes, nous sommes mis à poil en un clin d’œil, et nous bandions comme des cerfs en rut. La peau de Laurence sentait déjà le stupre et la luxure de femme, avant même de commencer. ...
    ... Bernard avait une cage pénienne que sa femme lui a retirée à l’aide de la clé qu’elle gardait dans son sac à main. Il n’avait pas baisé depuis un mois, se contenant de regarder son épouse forniquer avec tout le carnet d’adresses du couple, lequel était copieusement garni de copains en pleine santé, et même quelques copines lesbiennes ou bisexuelles que le physique de la jolie maman ne laissait pas indifférentes. Pour ma part, je portais un plug anal que ma tendre épouse m’avait offert pour notre anniversaire de mariage ; cet objet me massait continuellement la prostate lorsque le marchais, ce qui me maintenant dans un état constant d’excitation sexuelle. Elle me l’a retiré avec délicatesse afin de le laisser admirer par nos amis.
    
    Laurence s’est tout de suite allongée sur la table basse, sur le dos, les fesses sur le bord et la tête basculée en arrière : tous ses orifices étaient à disposition de ses prétendants. Pour elle, trois bites en même temps dans son corps constituaient un minimum pour une soirée réussie. Elle lubrifiait naturellement d’une manière suffisante pour qu’il ne soit pas nécessaire d’ajouter quelque substance pharmaceutique que ce soit. Comme elle adorait se faire attacher, nous l’avons ligotée sur les pieds de la table, les bras en croix et les cuisses repliées et écartées largement, solidement fixée par poignets et chevilles où les marques du nylon serré sont restées imprimées quelques jours, ce qu’elle ne craignait pas de montrer fièrement dans les ...
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