1. Prise de connaissance.


    Datte: 02/09/2019, Catégories: fh, fagée, fépilée, vacances, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, hfisté, lavement, confession, occasion, Auteur: Tomy34, Source: Revebebe

    ... monstre à demi bandé.
    
    — Ô, putain, l’engin…
    
    Je lui souris et plonge dans la grande bleue. Elle me rejoint. Elle me complimente sur ma queue et, joignant le geste à la parole, elle me l’empoigne. Ce contact m’électrise. Je bande fermement. Elle a un rictus d’étonnement.
    
    — La vache, votre femme en a de la chance !
    — Et ma maîtresse aussi.
    
    Je replonge et m’éloigne. Elle ne cherche pas à me rejoindre. Elle fait quelques brasses et s’en va se sécher. Je remonte, le sexe fier. Je m’allonge sur le ventre. Je reprends la lecture de mon journal. Je peux voir qu’elle me détaille en profondeur. Il est vrai qu’un mec sans aucun poil n’est pas monnaie courante. Je la mate à travers mes lunettes. Elle me reprend discrètement une clope. Elle se recoiffe, enfin, passe ses doigts dans ses cheveux d’or. Mon érection ne se calme pas. Je la veux. Je me mets de côté afin qu’elle ait une vue imprenable sur mes attributs. Elle me regarde avec envie et me sourit.
    
    — Vous habitez loin d’ici ? me demande-t-elle.
    — À une vingtaine de kilomètres. À Puget-ville et vous ?
    — À l’Aygade, vous voyez, les anciennes maisons de pêcheurs ?
    — Oui, à côté, enfin pas très loin.
    — Vous êtes en voiture ? (question idiote)
    — Ben oui…
    — Moi pas. Je viens en trottinant tous les matins et je repars en bus sur les coups de midi.
    — Vous n’allez pas tarder alors, il est 11 h 45.
    — C’est vrai ? fait-elle en regardant son portable. Merde, je vais louper mon bus…
    — Si vous voulez, je vous ramène.
    — ...
    ... Oh, vous seriez chou !
    — Allez, en route.
    
    Je me rhabille et cache mon érection à l’aide de la ficelle de mon short.
    
    Une fois chez elle, elle se met à poil. Je l’imite. Elle me fait visiter. Toute la maison est en bois et la hauteur de plafond ne doit pas dépasser deux mètres. Ça sent bon l’herbe fraîchement coupée (le gazon, je précise). Elle me dirige vers sa terrasse qui ne doit pas dépasser les quarante mètres carrés. Entièrement ombragée, elle me dit de m’installer à la table d’extérieur.
    
    Elle revient les bras chargés de bières en cannettes vertes.
    
    — C’est quoi, votre prénom ? me demande-t-elle.
    — Hervé et vous ?
    — Géraldine, Gégé pour toi, euh… vous.
    — On peut se tutoyer ?
    — Oui, absolument. Tu es en vacances ?
    
    Je lui réponds que non, que je vis avec ma femme et ma maîtresse. Ébahie, elle ne me croit pas. Je lui présente les femmes de ma vie sur mon portable. Elle est impressionnée. Je bois ma bière, détendu et serein, la bite tendue à son maximum. J’ai les jambes écartées et je me caresse les couilles. Elle est à assise à cinquante centimètres et me mate avec l’envie d’une petite fille devant un sucre d’orge. Je lui souris.
    
    — C’est rare de voir un gars imberbe, ça doit être doux.
    — Tu peux toucher si tu veux.
    
    Elle n’attendait que mon accord, elle se penche en avant et me saisit la queue et les boules. Elle me caresse plus qu’elle ne me branle. Une goutte de présperme apparaît. Elle sort sa petite langue pointue et me lèche délicatement le méat. ...
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