Prise de connaissance. - Histoires de Sexe

Prise de connaissance.

Je vais vous raconter l’histoire que j’ai vécue cet été. Ceci est une histoire vraie, à peine romancée.

Je vais tout d’abord me présenter. Hervé, 34 ans, 1,80 m pour 73 kg, châtain très court et les yeux marron. Corps impeccablement bronzé. Merci à dame nature, elle m’a doté d’un sexe plus que respectable. 20 x 5 (en érection, il ne faut pas rêver). Mon couple – enfin, mon trio – est formé par Lili, ma femme et d’Isa, ma maîtresse. Elles se connaissent fort bien, puisque l’on vit ensemble sous le même toit. Cela fera partie d’un autre récit, promis.

Emboîtons sur l’histoire :

N’ayant pu prendre leurs vacances en même temps que moi, c’est seul que je vais à la plage. Une plage connue des Hyérois, les Salins de Hyères, juste après port Pothau (pour ceux qui connaissent). Plage naturiste, car je pratique depuis fort longtemps. On est fin juin. La chaleur caniculaire se fait déjà ressentir.

J’y vais de bonne heure pour profiter du calme et de la clarté de l’eau. Je me suis donc installé à 9 h, passé de la graisse à traire, baigné deux ou trois fois. Je lis « Var Matin » allongé sur le ventre. Quand j’entends une voix qui m’interpelle.

— Bonjour, Monsieur, auriez-vous une cigarette ?

Je regarde par-dessus mon épaule. Une femme, la soixantaine, nue bien évidemment, attend ma réponse. Je suis immédiatement attiré par cette femme. Pas par sa beauté, mais par le sex-appeal qu’elle dégage. En gentleman, je lui en tends une et l’allume. Elle me remercie et retourne ...

... sur sa serviette qui est à deux mètres de la mienne, un peu plus haut. Elle a un tatouage qui lui fait comme une grosse châtelaine en forme de barbelés, une sirène dessinée à l’extérieur de la cuisse gauche et une tête de chat en haut du sein gauche. Elle a les seins en poire, haut perchés avec des aréoles brun foncé et des tétons qui pointent. Ils sont« piercés » de deux anneaux dorés. Assise, jambes écartées, elle porte un anneau au niveau du clito et un autre tatouage au niveau du pubis, une espèce de Poséidon avec son trident pointé vers son bouton d’amour.

« Encore une tarée », me dis-je, mais elle semble inoffensive. Elle engage avec moi une conversation débile sur la qualité et la beauté de ma serviette de bain. Je réponds que la sienne n’est pas mal aussi. Elle se lève et vient s’installer à côté de moi. Je suis à peine surpris de cette initiative. J’allume une clope et je lui tends une autre. Allongée sur le ventre, elle ne peut voir poindre mon début d’érection. Son visage me plaît. Des traits fins, une grande bouche aux lèvres fines. Sa longue chevelure blonde négligée lui tombe jusqu’au fesses. Seules les rides au niveau du cou trahissent la lourdeur des ans. Le reste du corps est parfait pour une femme de cet âge (j’appris plus tard qu’elle avait 64 ans).

— L’eau est bonne ce matin ? me dit-elle.
— Salée, comme d’hab.

Elle me sourit. Charmant sourire.

— Je vais y goûter, vous me suivez ?

Je me lève et la suis. Quand elle se retourne, elle voit mon ...