1. Enzo en moi


    Datte: 30/08/2019, Catégories: fh, jeunes, médical, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, jeu, confession, prememois, h+medical, Auteur: Shen, Source: Revebebe

    ... Antoine. Continuons…
    
    Le désir monta en moi en prenant conscience de ce corps soumis à nos regards. Nous avions déjà franchi des paliers d’intimité au sein du groupe, mais jamais une personne étrangère ne s’était soumise à ce genre de paillardise. Je savais qu’Antoine pouvait aller très loin.
    
    Il dessina le foie. Enzo découvrait avec fascination ce qui se cachait dans son corps. Chaque fois que le feutre épais glissait sur la peau, il se plaignait des chatouilles que cela lui procurait. Son rire était juvénile.
    
    Au fur et à mesure du jeu, le nœud de la serviette se desserra. La situation était devenue troublante.
    
    — Fais attention tout de même… dit Friedrich.
    — Je respecte l’intimité du patient !
    — C’est pas ton patient…
    — Je respecte l’intimité du footballer !
    
    Antoine desserra un peu plus la serviette qui avait tenu jusque-là, laissant apparaître le pubis du garçon.
    
    — Ne regarde pas, toi ! me dit-il d’un ton diabolique.
    — Et pourquoi je ne regarderais pas ? Je suis autant médecin que toi…
    — Tu as les yeux de Satan… dit Antoine en dessinant la vessie du garçon.
    — Non, elle a des yeux d’ange ! fit Enzo.
    
    Le bout du feutre se faufila entre les poils du jeune cobaye et jusqu’à la base d’un sexe encore soigneusement dissimulé sous la serviette.
    
    — Tu vas jusqu’où comme ça ? demanda Enzo, un peu gêné.
    — La prostate, coupa Friedrich.
    — Non, tu déconnes ? répondit Antoine.
    — Non… dit l’Allemand, hébété.
    — T’as vu la taille et son âge ! C’est la vessie, ...
    ... imbécile.
    — Mais je sais… grommela Friedrich.
    
    Pendant les minutes qui suivirent, Antoine noircit littéralement le corps du garçon en traçant les longs os des jambes et des bras du patient, en parcourant certains muscles et certaines parois oubliés du corps. Enzo ressemblait à un guerrier dont les tatouages coulaient par endroit.
    
    — T’es dans un bel état… dit Friedrich. T’as plus qu’à retourner à la douche.
    — On n’a pas fini, coupa Antoine, d’ailleurs tu n’as pas tout trouvé, Fred, méfie-toi.
    — Oh ça, je me méfie, avec toi…
    — Il faudrait que tu enlèves ta serviette pour la suite… lança Antoine à Enzo.
    — Tu ne vas pas le dessaper complètement ? dit Gina, interloquée. C’est mon petit frère !
    — Ben si… Il a le droit de refuser ! On fait quoi à la fac ?
    
    Antoine s’amusait comme un fou.
    
    — Non c’est ok, si tu veux on continue ! Après tout, il y a deux mecs médecins et ma grande sœur ! J’ai rien à cacher…
    — Et moi ! lui rappelai-je.
    — Oui, y a toi, tu me connais un peu depuis le temps ! me répondit-il en clignant de l’œil.
    
    Alors l’incroyable se produisit sous mes yeux. Antoine défit complètement la serviette d’Enzo qui se retrouva dans le plus simple et le plus bel appareil. Manifestement, ce petit jeu ne le laissait pas totalement indifférent. Chacun de nous savait que son pénis n’était pas en position de repos complet.
    
    — Bel engin ! dit Antoine, amusé. Maintenant puis-je continuer ?
    — Ok… dit fièrement Enzo, qui but une nouvelle gorgée de bière.
    
    Gina ne ...
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