Ils n'étaient pas là par hasard
Datte: 29/08/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Plume Gotlooniau, Source: Hds
... son corps, et son élan jaillissant sur elle.
Mais rien.
Les étages s’additionnent, il reste dos à elle. Il porte un sac, et cette veste d’homme d’affaire qu’on trouve à la Défense. Elle se demande de quoi il a pu remplir un sac si imposant. Quelques souvenirs de leurs dernières entrevues lui ravive la mémoire.
Il se vide la tête. Une fois qu’elle est entrée dans l’hôtel, elle a tout accepté. Elle sait ce qui l’attend. Pour oublier la semaine et la lourdeur des jours, il l’imagine gisant sur un lit humide, une seule main de libre pour caresser son torse et réclamer
« Encore. Pitié encore. »
Et lui, seul garant de son plaisir, ordonnant à sa chose de le sucer encore.
Elle ne rêve que de ça. Son propre corps étalé, offert à cet homme, et cet homme qui gémit sous sa langue affutée. Peut-être a t-il d’autres projets ce soir ?
Il sort en premier, sans un mot, lui qui sait si bien déclarer ses pulsions. Elle sort un peu déçue. Faut-il que je le distrait davantage ?
Il marche souriant de la savoir derrière ignorer ses envies. Elle court, elle veut un jeu, il décline ses approches. Il est neutre, trop neutre.
Elle le languis davantage à mesure qu’il est froid.
Elle a la clef aussi elle ouvre la serrure.
Il défait les scratch.
Elle entre dans la chambre.
Il entre la chambre. Il ferme fort la porte. Il attrape sa petite, surprise et perturbée par ce changement d’humeur. Il est incisif, sur de lui. A ses injonctions elle obéis. La voilà assise sur ...
... le lit, les mains derrière son dos. Il l’allonge, en commençant a soulever sa robe. Ses dessous ne tiennent plus, son collant lui tombe aux genoux, sa petite culotte pend a son bassin. Il ne l’embrasse pas. Pas encore. Des mains se baladent sur le corps un peu tremblant. Il lui caresse le ventre, les jambes, il remonte sur ses hanches, empoigne ses seins, il caresse ses tétons qui pointent et qui réclament. Il serre encore un peu sa poitrine haletante. Il aime y entendre les pulsations de son coeur, elle voudrait gémir, prendre une bouffée d’air. Il serre son cou, et de l’autre main écarte ses cuisses.
Elle est inconfortable, allongée sur ses mains. Mais au monde, pour rien, elle ne veut que s’arrête le virtuose qui caresse ses jambes, l’intérieur de ses jambes, et puis brusquement il retire sa culotte. En accédant à ses lèvres il l’embrasse langoureusement. Deux doigts sur son clitoris, un en elle qui vas et reviens, et l’autre main pour empoigner ses cheveux. Il lui dit entre deux baisers, doux :
« Je vais te faire hurler tellement fort, que toute la rue pensera que cet hôtel accueille des putes. »
Il l’embrasse encore et augmente le nombre et l’intensité des doigts en elle. Elle gémit de plus en plus péniblement, des petits cris s’échappe malgré elle, elle perd le contrôle.
Par le cou, il fait remonter la jeune fille, hors d’elle. Il a détaché ses menottes, elle en profite pour agripper son pantalon, ivre. Elle se dirige vers lui. Il la rattrape par les cheveux. ...