1. Le gars de l’expo.


    Datte: 29/08/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Paquito69sex, Source: Hds

    ... croire ; c’est trop gros, trop beau pour être vrai ; et je ne veux pas non plus tromper celui qui me rend heureux à Marseille.
    
    Mais ce mec, putaaaaaaaaain, cette petite gueule sexy, ce sourire ! Il y a de quoi se damner !
    
    Sans vraiment réfléchir, je vais à un lavabo, j’ouvre l’eau, je glisse mes mains sous le jet d’eau, j’attends ; j’attends, je ne sais pas vraiment quoi, pourtant j’attends, sans jamais quitter des yeux cette porte non verrouillée, située juste derrière moi.
    
    Plus les secondes passent, plus je me dis que je ne vais pas oser. et que de toute façon, je me suis encore fait des films.
    
    Puis, la porte s'entrebâille. Et son regard me percute, m’attire, m'aimante, me déboussole ; mes pieds bougent seuls, je me retrouve devant la porte de la cabine à nouveau rabattue mais toujours pas verrouillée. Je la pousse, je rentre dans le petit espace ; le beau gosse est derrière la porte, il me sourit, il a déjà la braguette ouverte, il a un slip noir, il verrouille la porte et il descend le slip dans la foulée. Il en sort une jolie queue bien montée malgré qu'elle soit encore mi molle.
    
    Je pose mon achat sur le réservoir des toilettes, je suis à genoux devant cette queue à la peau mate, elle grossit instantanément entre mes lèvres et sous les caresses de ma langue. Pendant que je le pompe, j'ouvre mon pull à capuche, et c’est tout naturellement que le beau gosse glisse une main dans le col de mon t-shirt, pour aller titiller mon téton. C’est tout ce que ...
    ... j'aime.
    
    Je n'arrive encore à croire ce qui est en train de se passer, avec un si beau mec, dans cette situation. Je prends vite goût à cela, et j’en oublie aussi vite mes états d'âme.
    
    Tout est parfait, ou presque : je voudrais juste lui dire que je veux bien le faire jouir mais je ne veux pas qu'il vienne dans ma bouche (c'est pas l'envie qui me manque, mais je dois me protéger, moi et celui qui partage ma vie); mais je ne peux pas m'arrêter de lui faire plaisir, c'est un bonheur indescriptible que de sucer ce bogoss sexy à mourir ; qui, en plus, seconde mes va et vient avec des petits coups de reins bien agréables.
    
    Puis, au bout de quelques secondes à peine, peut-être une minute à tout casser, je sens sa main se poser sur mon épaule et me repousser doucement : son bassin s'éloigne, sa queue quitte ma bouche.
    
    Je le vois remonter son slip et y cacher dedans, non sans difficulté, sa queue tendue.
    
    Je suis étonné, déçu, frustré.
    
    « C'est tout ? » je ne peux m'empêcher de lui demander.
    
    « Je travaille... » il me rétorque.
    
    « Allez, encore un peu... » j'insiste.
    
    Il fait non avec la tête, avec son sourire bien sexy, bien allumeur.
    
    Je le regarde remonter son jeans, fermer sa braguette, agrafer sa ceinture. Je comprends que je n’aurai pas plus, je renonce à insister, mais vraiment à contrecœur.
    
    « Reste ici... » il me lance, alors qu'il quitte la cabine avec précipitation.
    
    Le beau gosse vient de partir, je verrouille la porte et je reste planté là, comme un con, ...