1. Mauricette aime la quéquette.... (2)


    Datte: 28/08/2019, Catégories: Hétéro Auteur: RENIFLEUR61, Source: Xstory

    ... peur.
    
    — Vous avez dû vous embêtez à…
    
    — Pas le moins du monde mon cher ami. Une crème épilatoire. Le tout m’a pris à peine une demi-heure. Vous venez ?
    
    Alors que je montais les marches, la patronne s’éloigna. Accentuant le roulis de ses hanches. Je ne l’avais jamais trouvée vu aussi excitante. Je m’étais régalé du spectacle fabuleux de son cul. Ses mouvements de balancements accentués par les talons hauts me donnaient le vertige. Elle s’arrêta devant la porte de la première chambre, l’ouvrit et s’engagea à l’intérieur. Quand je passais à mon tour le chambranle elle m’attendait assise sur le lit la jupe retroussée.
    
    Je distinguais la fente rosée et profonde de son sexe. Sans aucune hésitation j’avais posé ma main. Avant d’introduire deux doigts dans la vulve humide. Avec un air de dignité comique elle me dit :
    
    — Tu ne souhaites pas y mettre autre chose ?
    
    La vulgarité des paroles et du tableau m’excitaient au plus haut point. Avec une lueur étrange dans les yeux, elle s’était emparée de ma main fouineuse. Pour la porter à la hauteur de sa bouche. Elle ouvrait sa bouche et lécha longuement les sécrétions qu’elle avait déposées sur mes doigts. Je ne tenais plus.
    
    Elle m’avait pris par le bras et entraîné jusqu’au lit. Je n’avais pas résisté. Et m’étais allongé. Sans perdre une minute elle s‘était chargée de me soulager de mon pantalon. Faisant palpitait ma verge à l’air libre. Elle resta là, immobile, à m’observer. Fasciné, comme si c’était la première fois ...
    ... qu’elle la découvrait. De mon côté je fixai la fabuleuse poitrine de la patronne. Que la transparence du nylon exhibait jusqu’au moindre détail.
    
    — Ce sont mes seins qui vous intéressent à présent ? Demanda-t-elle en remuant à peine les lèvres. Plus ma chatte…
    
    — Oui…
    
    D’un geste vif, elle attrapa le bas de sa chose transparente et le remonta. Dévoilant sa poitrine avec de larges aréoles d’un rose foncé.
    
    — Regardez ! Fit-elle d’une voix un peu rauque, j’en ai les seins qui bandent rien qu’à regarder votre queue.
    
    Les pointes étaient dressées, fermement érigées. Elle relâcha tee-shirt qui demeura bloqué au-dessus des deux globes jumeaux. Lentement, sans me lâcher des yeux, elle s’empara de ses seins. Les soupesa un moment. Ses tétines érigées durcirent. Elle cambra les reins dans un frisson, tout en faisant rouler ses mamelons entre son pouce et son index.
    
    Plus bas sa vulve s’épanouissait. Comme une grosse fleur. La crête rose légèrement fripée et les muqueuses étaient luisantes. Interceptant mon regard elle délaissa sa poitrine pour sa chatte, écarta les grandes lèvres entre les deux pouces. Elle décalotta son bouton. Apparaissant tout rouge, dans toute son insolence.
    
    Je n’avais pas pu résister d’approcher ma bouche de son sexe. Il sentait la savane, la mer, la vie. Je commençais d’une langue habile à picorer par à-coups le bourgeon crémeux. Elle gémissait presque aussitôt. Je l’aspirais et le retins entre mes lèvres. Je le suçotais jusqu’à en perdre le ...
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