1. Mauricette aime la quéquette.... (2)


    Datte: 28/08/2019, Catégories: Hétéro Auteur: RENIFLEUR61, Source: Xstory

    — Bon Alain dès mon arrivée à Paris je m’occupe de ceux que nous avions parlés. Je vous embrasse et vous dit à bientôt.
    
    Ce fut sur ses paroles pleines de promesses qu’elle démarra et roula jusqu’à la grille dont l’accès était ouvert et dont elle disparut.
    
    Je montais les quelques marches du perron et allais à la rencontre du patron qui devant un kir terminé de ranger ses papiers.
    
    — Bon Alain, si vous aviez l’amabilité d’approcher la voiture.
    
    — Oui tout de suite monsieur.
    
    — Madame est partie ?
    
    — Oui, à l’instant.
    
    Je pris le trousseau de clefs dans le cendrier et présentais la voiture en bas des marches. J’y installais les bagages dans le coffre, puis s’en suivit de la valisette avec les papiers. Alors que je montais de nouveau les marches du même perron j’entendis le téléphone.
    
    — Vous répondez Alain s’il vous plaît, fit le patron.
    
    — Oui monsieur.
    
    Je décrochais et ne mis pas longtemps à reconnaître la voix de la châtelaine. Qui disait :
    
    — Venez me rejoindre dans la maison une de location. Surtout n’en parlez pas à mon mari.
    
    Je raccrochais, désorienté.
    
    — Qui c’était ? Fit la voix du patron.
    
    — Une erreur.
    
    J’allais le rejoindre jusqu’au salon pour le retrouver. Finissant son kir.
    
    — Bon monsieur je vous salue car le devoir m’appelle.
    
    — Vous avez tout chargé ?
    
    — Tout monsieur. J’ai même laissé tourner le moteur.
    
    — Vous êtes un père Alain.
    
    — Oh monsieur est trop bon.
    
    — Non ! Non ! J’assiste, je ne s’aurais pas quoi ...
    ... faire sans vous.
    
    — Merci monsieur et bonne route.
    
    En quelques enjambées je fus dans l’endroit indiqué.
    
    — C’est vous Alain ?
    
    — Oui madame.
    
    — Veuillez verrouiller la porte s’il vous plaît avant de me rejoindre. La clef est dans la serrure.
    
    Deux tours plus tard je m’orientais dans les différentes pièces sans la trouver.
    
    — Où êtes-vous madame ?
    
    — Dans les escaliers.
    
    Elle se trouvait bien où elle l’avait dit. Tout en haut des marches. Elle s’était changée. Délaissant son jean chemisier contre un haut en nylon de couleur noir, très transparent.
    
    Je pouvais parfaitement distinguer par transparence sa poitrine. Ma position à contre bas me donnait une vue imprenable sur ses jambes gainées de bas noir. La coquine avait hormis de se passer une culotte. Où l’avait-elle fait exprès. Pour m’exhiber sa chatte lisse. Posé comme un symbole d’abondance sur une paire de cuisses laiteuses. Qui donnait envie de bondir et de la prendre sur-le-champ.
    
    — Ça vous plaît ? Fit-elle en soulevant le devant de sa jupe. Son sexe était bombé comme un abricot. Elle avait les petites lèvres chiffonnées comme des filets de saumon.
    
    — Ça change.
    
    — Je trouve ça plus excitant, pas vous ?
    
    — C’est une question de gout, madame.
    
    — Cela n’a pas l’air de vous enchanter.
    
    — C’est que je suis loin d’être fâché avec les poils, madame.
    
    — Merde ! Je croyais bien faire… moi. Et quand il n’y en a pas ? Me consulta-t-elle
    
    — Je fais avec…
    
    — Ouah ! Vous m’avez fait une de c’est ...
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