1. Qui es-tu Marie ?


    Datte: 11/03/2018, Catégories: fh, groscul, hépilé, fépilée, sexshop, hotel, amour, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fgode, préservati, pénétratio, fsodo, sm, piquepince, Auteur: L'Absent, Source: Revebebe

    ... Allez, Fred, vite, ne sois pas radin, il me faut cette bite dans le cul immédiatement si je veux bien jouir, dépêche-toi !
    
    Evidemment, je m’exécute. Je m’acquitte de la somme que je trouve excessive et je reprends ma place de voyeur penaud. Le gérant enfonce lentement le gode entre les fesses de Marie. Celle-ci, parfaitement détendue, ronronne d’un plaisir grandissant au fur et à mesure de l’intromission. Le gode est à présent complètement logé dans le cul de Marie et le gérant reprend ses coups de boutoir
    
    — Oh oui, pince-moi encore. Plus fort. Ah, c’est bon, oui, oui je jouis !
    
    Le gérant continue à baiser Marie pendant deux minutes alors que celle-ci, étourdie de jouissance, ne semble plus réagir et il finit par éjaculer en poussant un râle rauque. La séance est finie. Tout le monde se rhabille. Marie se sort le gode du cul et me le tend.
    
    — Il est à toi, tu l’as payé !
    
    Nous partons du sex-shop sans un regard pour le gérant… Alors que nous allions remonter dans la voiture, Marie déclare :
    
    — Bon, mon petit gars, j’ai maintenant à faire ces prochaines heures. Il faut que l’on se sépare, mais je n’ai qu’une parole. Je te promets qu’on se retrouvera dans la soirée. Fais-moi confiance. Retrouve-moi à l’Hôtel des Passantes à 21 h. Chambre 22. Ciao, Canard.
    — Mais tu seras là ?
    — Bien sûr, on n’a pas fini, non ? À ce soir.
    — À ce soir.
    
    Alors que je contemple sa voiture qui disparaît, je me dis que je vais mettre à profit ces quelques heures pour me taper un ...
    ... bon roupillon. Les frasques alcooliques de la veille et les émotions de la journée me laissent un peu patraque. Après un sommeil réparateur, peuplé toutefois de rêves étranges et pénétrants, je me rends à l’heure dite au rendez-vous. Dans le hall, un réceptionniste éteint m’indique le chemin d’un vague signe de la tête. Je prends les escaliers et me voilà bientôt devant la chambre 22. Je frappe alors à la porte. La voix de Marie me répond :
    
    — Entre ! C’est ouvert !
    
    J’entre. Marie est seule, jusqu’alors je ne savais pas si cela serait le cas. Elle est nue, totalement, sans aucun artifice.
    
    — Mon petit Fred, ne crois pas que je sois uniquement guidée par la perversion absolue. Je sais être une amante éperdue d’innocence.
    
    Une fois encore, ma seule réponse est de me taire. Avec un sourire mutin, elle s’approche de moi et me déshabille peu à peu. Ses manières sont douces, presque innocentes. J’ai du mal à croire que c’est avec la même personne que j’ai passé les tribulations sexuelles de la journée. Bientôt je suis moi-même totalement dénudé. Elle me caresse tendrement le visage, me sourit. Puis elle commence à me caresser le sexe et les couilles. Très vite, je durcis, j’ai tellement attendu dans la journée que j’ai du mal à ne pas brûler les étapes pour atteindre le but si proche. Commence alors une lente masturbation. Alors que j’essaie de l’embrasser, elle refuse la tentative. Par contre, elle se met à me gratifier d’une magnifique fellation. Elle me suce avec emphase ...
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