1. Qui es-tu Marie ?


    Datte: 11/03/2018, Catégories: fh, groscul, hépilé, fépilée, sexshop, hotel, amour, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fgode, préservati, pénétratio, fsodo, sm, piquepince, Auteur: L'Absent, Source: Revebebe

    ... avec une préférence pour les plus imposants. Elle s’adresse soudain au gérant du magasin.
    
    — Excusez-moi, Monsieur, dit-elle, lequel me conseilleriez-vous ?
    
    Elle a, à ce moment, un sexe énorme dans une main et dans l’autre un godemiché visiblement destiné à combler les cavités anales. Le gérant répond sans gêne apparente en affichant un large sourire.
    
    — Ils n’ont pas le même usage. Voyez-vous, celui que vous avez dans la main droite à une fonction, disons… classique. Celui que vous tenez dans la gauche est plutôt pour la porte de derrière, dit-il tout en terminant par un clin d’œil appuyé.
    — Ah, le gauche c’est fait pour se bourrer le cul ? interroge Marie innocemment.
    — C’est tout à fait ça.
    — Si j’aime bien avoir une bite en plastique entre les fesses, je préfère de loin un vrai sexe de chair et de sang pour combler ma chatte. J’ai la chatte exigeante qui aime quand ça palpite.
    — Je vous comprends, répond le gérant avec un grand sourire cette fois.
    
    J’assiste muet à la scène. Marie charme effrontément le gérant avec des mots crus et des moues suggestives. Elle s’approche enfin de lui avec des allures de chienne en chaleur et lui susurre…
    
    — S’il te plaît, mets-moi ta bite bien profond. Ne fais pas attention à celui-là. Fred est mon ami, mais il est impuissant et ça l’excite que je me fasse baiser devant lui.
    
    Et, sans lui laisser le temps de la réplique, Marie disparaît derrière le comptoir. Je devine qu’elle déboutonne le gérant pour une pipe royale. ...
    ... Elle s’écrie alors :
    
    — Fred, approche-toi, viens près de nous. Viens voir comme je suis salope et comme j’aime ça.
    
    Je m’approche alors et me retrouve dès lors tout près de Marie et du gérant. Marie a ôté son slip de dentelle tout en gardant sa jupe. Elle a enlevé son pull, son chemisier et son soutien-gorge. Le gérant est bien bâti, costaud et tout. Son membre entièrement rasé a une taille honnête, comparable au mien. Alors que Marie le pompe avec grandeur, je me demande si le gérant est complice, s’il ne connaît pas depuis longtemps Marie qui lui amène de temps en temps des petits gars comme moi égarés dans un road-movie érotique avec elle. Le gérant a basculé Marie sur le comptoir, il enfile une capote et se met à la limer par derrière. J’admire le cul magnifique de Marie, ses jambes superbes. Le gérant lui pelote sans ménagement les nichons, les pétrit avec force, sans délicatesse. Je bande comme un taureau mais, comme je dois paraître impuissant je m’abstiens de me branler cette fois-ci. Marie pousse des petits cris de contentement.
    
    — Oh oui, baise-moi fort, mon salaud. Oui, plus fort. Nique-moi bien profond, bourre-moi bien à fond. Oui, c’est bon ! Encore ! Oui !
    
    Puis Marie demande au gérant de lui mettre « au fond de son cul » le gode anal qui avait ses préférences
    
    — Oui, mais il faudra le payer, dit-il. À partir du moment où un article a servi, je ne peux plus le fourguer à mes clients.
    — Pas de problèmes, mon salaud. Fred, sors ton flouze !
    — Mais…
    — ...
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