1. Le presse-agrumes


    Datte: 27/08/2019, Catégories: fh, humilié(e), noculotte, Masturbation Humour Auteur: Samuel, Source: Revebebe

    ... Et tout de suite, effectivement, le tissu en tergal de mon pantalon se tendit, à sa grande satisfaction. Elle prit des notes et me demanda si c’était douloureux de bander sans espoir. Je répondis que de la savoir dans cet instant présent, nue sous sa jupe était une vraie jouissance. Et le simple fait de lui répondre me fit bander davantage encore. Elle trouvait cela bizarre, parce que, disait-elle, si elle me savait nu dans mon pantalon, cela ne lui ferait rien du tout.
    
    Puis, elle voulut savoir si je pouvais ainsi arriver à l’éjaculation. Je lui expliquai que non. Il faudrait une aide manuelle. Elle se mit à réfléchir et sa jupe tournoyait dans la pièce, entretenant bien sûr la tension de mon sexe. Elle s’approcha, glissa sa main dans mon slip et prit en main mon pénis. Elle me masturba un petit moment avec douceur, mais ses doigts, coincés dans ce petit espace entre ma ceinture et mon chibre, n’avaient que peu de marge de manœuvre. Elle comprit vite qu’elle n’arriverait pas à ses fins, qu’au plus, elle maintiendrait l’érection en l’état. Elle se mit à parler, à me rappeler la fois où nous avions fait l’amour dans les chiottes d’un restaurant en Hongrie. Elle s’était assise sur moi, moi-même étant sur le trône. Je l’avais pénétrée et elle s’était mise à pisser. J’avais joui comme jamais sous les flots brûlants de son urine. Et là encore, le souvenir faisait son effet…
    
    Elle retira ses doigts prestement à la première saccade de foutre. Je restai coi. Elle mit son nez pour ...
    ... saisir tous les effluves. Une tache humide prenait la place de la proéminence sur le devant du pantalon. Elle voulut que je lui raconte ce qu’il se passait maintenant dans mon slip. Je lui dis avec calme que ça coule, lentement, depuis mon bas-ventre jusqu’à mes testicules, que c’est chaud et froid en même temps, que c’est agréable et aussi très désagréable, que ma bite se racornit, se rendort, que je me sens sale. Pourquoi sale, me demande-t-elle ? Je ne sais pas, mais je crois que si je me lève du canapé, je vais marcher comme un canard. Elle note : canard. Elle me dit que je dois rester comme ça ; elle est curieuse de savoir quel est l’aspect du sperme quand il sèche dans ces conditions.
    
    Elle me demande si cela s’est déjà produit. Je lui réponds que lorsque j’étais adolescent, un jour dans un cinéma, je me suis éjaculé dessus (ou dedans, c’est selon) lors de la vision d’Histoire d’O et que je me suis retrouvé dans la rue pourri de sperme. J’avais l’impression que tout le monde sentait l’odeur de mon slip. Je lui dis que j’en ai maintenant jusque sur l’anus. Elle note et veut savoir si c’est jouissif. Je lui dis que non, bien sûr que non, que j’en ai assez, que je veux me laver. Elle est enfin d’accord. Je marche effectivement en canard jusqu’à la salle de bain. Je ferme la porte avec dégoût et verrou ; je ne veux pas de cette paparazzi (ne doit-on pas dire paparazza ?) dans mes ablutions. J’entends que le presse-agrumes reprend du service. Je pisse.
    
    Quand je me suis ...