1. Le presse-agrumes


    Datte: 27/08/2019, Catégories: fh, humilié(e), noculotte, Masturbation Humour Auteur: Samuel, Source: Revebebe

    J’étais en train d’essayer de me faire un jus d’orange avec ce nouvel appareil presse-agrumes d’une complication telle que je finissais par m’énerver sérieusement contre toutes les innovations technologiques. Et c’est évidemment ce moment qu’elle choisit pour entrer. Pendant des mois j’avais tellement souhaité qu’elle vienne, ou plus exactement qu’elle revienne, mais ce matin-là, j’ai bien failli ne pas lui ouvrir. Enfin, elle était là dans la cuisine contemplant avec un sourire narquois le désastre : du jus de fruit et de la pulpe d’orange écrasés partout sur la table, sur le carrelage, sur les murs et rien dans mon verre. Patricia, qui m’avait largué, avait une nouvelle preuve de mon incapacité à m’adapter aux circonstances. Elle prit une orange sur l’étagère, la coupa en deux et en moins de deux, d’un geste élégant, introduisit les deux moitiés dans l’appareil qui, soumis, lui obéit au doigt et à l’œil. Un jus limpide et frais n’en finissait plus de couler. Que dire ? Que faire ? Je me contentai de hausser les épaules. Mais elle n’était pas venue comme démonstratrice de presse-fruits, elle voulait que je l’aide pour un prochain roman.
    
    Voilà que Patricia avait des ambitions littéraires. Mais aussi un plan de carrière. Elle voulait commencer par un texte brut, brutal, bestial. Bref, elle pensait que c’était la seule façon de faire parler d’elle dans une rentrée qui verrait surgir quelques 800 titres. Elle avait déjà barbouillé des dizaines de feuillets et elle ...
    ... s’intéressait à la sexualité des garçons. Elle en connaissait déjà un rayon, mais elle voulait se mettre dans la peau de l’homme. Elle me demanda si j’étais prêt à l’aider. Vu que j’avais l’intention de la reconquérir, je ne pouvais qu’acquiescer. Mais attention, me prévint-elle, ce n’est pas de la gaudriole, et surtout pas un prétexte pour baiser. Elle voulait que je sois un cobaye, rien de plus. Je ne comprenais pas bien où elle voulait en venir.
    
    Elle me fit asseoir sur le canapé et me demanda de penser à quelque chose d’érotique, de porno, pour voir comment mon sexe bandé modifierait l’aspect de mon pantalon. Je lui dis que je ne bandais pas comme ça, sur commande, qu’un homme normalement constitué ne pouvait, à la simple idée vaguement érotique, avoir une réelle érection. Elle me mit sur les genoux les revues de cul que j’avais dissimulées sous une pile de journaux (elle connaissait bien la cachette). Je lui expliquai que je ne pouvais bander en regardant ces images mille fois vues. Impatiente, elle me demanda ce qui me ferait de l’effet. Je lui dis que j’aurais probablement une belle érection si elle enlevait sa culotte. Elle portait une jupe assez longue, un corsage charmant, à peine échancré, et un pull léger. Cette tenue, assez sage, était probablement destinée à me faire comprendre qu’il ne fallait me faire aucune illusion sur une éventuelle reprise de nos ébats amoureux.
    
    Elle sortit dans le couloir et revint quelques secondes après en me jetant son string encore chaud. ...
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