Alice et les hommes mûrs – partie 2
Datte: 25/08/2019,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Première fois
Hardcore,
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... surtout à la peau des cuisses visible. Sans parler du décolleté qui, selon les positions que prenait Alice, offrait une vue sur la naissance de ses seins, révélant qu’elle n’avait pas soutien-gorge.
Puis un dernier geste a sonné l’heure de s’en aller d’ici. Ce fut le moment où Alice cessa de croiser les cuisses. Après avoir pris une gorgée de bière, elle les laissa un peu entrouvertes au bord de son tabouret, assez pour qu’on voit clairement sa culotte. Marc assista au spectacle, et j’ai laissé s’écouler quelques secondes avant de dire à Alice :
« Je crois qu’il va être temps qu’on te ramène… »
Elle m’a regardé et dit :
« D’accord, mais on prendra un dernier verre chez vous, hein ? »
« Je ne sais pas si c’est bien sérieux, ai-je dit. »
Elle a mis ses mains en prière :
« S’il vous plait, juste une vodka. »
Je me suis tourné vers Marc :
« Je crois qu’il va vraiment me falloir de l’aide… »
Il a souri et répondu :
« On y va quand vous voulez. »
Dans la rue, elle fit semblant de tituber. Dans l’escalier de mon immeuble aussi, puis dans l’entrée et dans le salon, jusqu’à ce qu’elle décide de se poser au milieu du canapé. Là, elle leva les yeux vers nous et dit :
« Asseyez-vous, j’ai la tête qui tourne. »
Marc s’est assis en face d’elle, dans un fauteuil, et je suis allé chercher des verres dans la cuisine. A mon retour, Alice était penchée en avant, elle refaisait la boucle d’un de ses nu-pieds. On voyait ses seins en entier. Ils étaient ...
... pointus et leurs auréoles assez larges. Les yeux de Marc ne s’en sont pas décrochés une seconde, tandis que je remplissais les verres d’alcool fort. Car non seulement on voyait ses seins, mais en plus de ça, elle avait rouvert ses cuisses. Sa culotte moulait le volume de ses lèvres lisses, et je me suis mis à bander sévèrement.
Je me suis assis dans un fauteuil voisin de celui de Marc et je n’ai pas attendu pour passer la vitesse supérieure.
J’ai regardé Marc et j’ai dit :
« Elle est craquante, n’est-ce pas ? »
Il s’est tourné vers moi, juste un instant, puis il a pris son verre et il est revenu à Alice qui venait de se redresser.
« Absolument craquante, a-t-il dit. »
J’ai continué :
« Si vous n’étiez pas là, je crois que je me serais laissé tenter. »
« C’est-à-dire ? »
J’ai répondu en observant Alice qui portait son verre à sa bouche en nous jetant des petits regards :
« C’est-à-dire que je me serais amusé avec elle. »
« Je ne voudrais pas déranger, a dit Marc. »
« Vous ne dérangez personne, d’autant qu’on a passé la soirée tous les trois. Autant que vous en profitiez, non ? »
Alice est intervenue :
« Qu’est-ce que vous complotez, tous les deux ? »
J’ai répondu aussitôt :
« On est en train de se dire que tu mérites un gros câlin. »
« Oh oui ! a-t-elle dit. Un très gros câlin. Qui commence ? »
Marc et moi, on s’est regardé, mais Alice s’est levée au même moment, puis elle a fait « plouf-plouf » à haute voix en nous pointant ...