Alice et les hommes mûrs – partie 2
Datte: 25/08/2019,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Première fois
Hardcore,
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
Dès le lendemain, Alice et moi avons reparlé de cette envie commune qui consistait à ce que je l’offre à un homme mûr. Nous avons évoqué des tas de possibilités, des paquets d’occasions à provoquer, et même une petite liste de personnes de ma connaissance, qui, selon moi, n’auraient probablement vu aucun inconvénient à passer un moment avec une fille de 21 ans.
Mais, au terme d’une longue réflexion, nous avons décidé que le premier veinard serait un inconnu. Et là encore, nous avons passé en revue une foule de façons de s’y prendre. Au final, il restait deux possibilités et nous avons tiré au sort. Ce fut celle-ci qui l’emporta : nous allions cueillir notre veinard dans un bar.
Pas plus tard que le soir-même.
Celui que nous avons choisi se trouvait près de la gare, et je savais qu’on n’aurait aucune peine à y trouver une proie. L’endroit fermait ses portes assez tard et on pouvait y croiser autant des épaves que des solitaires, ainsi que des voyageurs, et une poignée de femmes avinées. Je m’y étais rendu quelques fois, à l’occasion de marches nocturnes dans la ville. J’y avais bu un verre et j’étais reparti. Le souvenir global que je gardais du lieu était une cohue agitée et un brouhaha masqué par des musiques populaires.
Nous y sommes entrés peu après 21 heures. A vue d’œil, il y avait une trentaine de personnes. Une écrasante majorité d’hommes. Nous sommes parvenus à dénicher deux tabourets au comptoir et on a commandé deux pressions.
Alice avait ...
... soigneusement étudié sa tenue vestimentaire. En haut, elle portait un petit chemisier blanc, légèrement décolleté. Une jupe assez courte et souple, rouge vif, des bas couleur chair, très sobres, et des nu-pieds à talons noirs. Dessous, je savais qu’elle n’avait pas de soutien-gorge. En revanche, sa culotte était rouge, moins vif que sa jupe, et transparente.
Naturellement, tous les regards s’étaient tournés vers nous à notre arrivée. Certains s’étaient vite détournés, mais d’autres avaient persisté assez longtemps à suivre des yeux cette jeune demoiselle en tenue légère, surtout lorsqu’elle s’était hissée sur son tabouret.
Notre plan était simple : nous allions laisser venir notre proie à nous.
Alice était l’appât.
Et la proie ne tarda pas longtemps. Il s’agissait d’un homme qui devait avoir une cinquantaine d’années, à peine. A l’évidence, il avait déjà bu un peu, ce qui ne l’empêcha pas d’être courtois et poli. Il se trouvait non loin de nous, au comptoir, quand je me suis absenté pour aller aux toilettes. A mon retour, il discutait avec Alice.
Elle me présenta comme étant son responsable de stage, ce qui en soi n’était pas vraiment un mensonge, puisque c’était à cette occasion que j’avais rencontré Alice.
L’homme s’appelait Marc. Il vivait non loin de là et il était divorcé. Il travaillait dans un bureau de la SNCF et venait parfois ici pour boire un verre et tuer le temps.
Nous avions établi un code avec Alice : si l’homme lui convenait, elle me ferait un appel ...