1. 1968 : une révolution puissance X (5)


    Datte: 25/08/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: blueyes, Source: Xstory

    ... dans cette exigence contenue. Pourquoi repousser un homme si révérencieux ?
    
    Mais quand même, recadrer cette virilité envahissante :
    
    — Jimmy, c’est quand même hypergênant.
    
    — On ne fait rien de mal.
    
    — Quand même... ça me gêne de sentir que...
    
    — Que je bande comme un fou pour toi ? Impossible de te le cacher. Tu es tellement désirable... Pourquoi en aurais-je honte ? Quoi de plus naturel ? D’ailleurs, j’admire ta volonté...
    
    Il l’enlaça plus intimement, épousant son dos, le bras pressa le sein droit et la paluche épaisse se posa comme par inadvertance sur le sein gauche. De toute évidence, le désir gonflait la mamelle, le téton en était turgescent, la respiration saccadée trahissait le trouble de la délicieuse... Une fois de plus, il frotta sa grosse queue contre la croupe moelleuse... Elle était sur le point de céder... Non, pas encore !
    
    — Jimmy !
    
    Dans un effort quasi surhumain, elle se détacha ; toujours sur le flanc, elle se déporta de quelques centimètres vers le bord du lit... De quelques centimètres à peine... Trop peu pour s’arracher au sortilège libidineux... Elle savait pertinemment qu’il allait revenir à la charge... Au fond de son âme, elle espérait une nouvelle offensive, chaque fois plus insidieuse, chaque fois plus envoûtante, toujours persuadée de pouvoir, in fine, y résister...
    
    Jimmy se régalait. Ce manège érotique tournait vers la volupté. Car, il n’avait aucun doute, elle allait se laisser baiser. Il serait patient. Elle le ...
    ... méritait.
    
    Il revint donc se lover à elle, le plus délicatement possible. Surtout ne pas la brusquer.
    
    — Jimmy, il ne faut pas...
    
    — On n’est pas bien comme ça ?
    
    — Si, mais ce n’est pas bien.
    
    — Ça nous fait trop de bien pour que ce soit mal.
    
    — Mais Philippe... Je l’aime ! Je ne veux pas le tromper.
    
    — Tu lui dis tout à ton Philippe ?
    
    — OUI !
    
    — Tu lui racontes quand tu te masturbes ?
    
    — Mais non...
    
    — Alors tu vois que tu ne lui dis pas tout.
    
    — Ce n’est pas pareil.
    
    — Si ! C’est juste un petit câlin... Un petit câlin de rien du tout...
    
    L’étreinte se précisait. Le salop n’avait plus à faire semblant, il branlait explicitement son braquemart contre le derrière de Sandrine. La passivité de la jeune femme était un encouragement évident. S’abstenir de fuir c’était consentir au mouvement de va-et-vient explicitement copulateur de cette grosse queue qui la veille avait arraché les feulements de l’orgasme à Marianne. Pourquoi ne pas obéir à l’instinct ? Il suffisait d’écarter les cuisses... La main gauche du mâle massait le sein, les doigts agiles, à travers le tee-shirt, et provoquait le téton ; la paluche droite fila vers la culotte... Sandrine serra les cuisses, juste à temps.
    
    Sa voix était humide, sa supplique on ne peut plus équivoque :
    
    — S’il te plaît, Jimmy...
    
    — Je te câline juste un peu. Pas plus...
    
    — N’en profite pas pour...
    
    — Si tu ne veux pas, je ne te la mettrai pas.
    
    — Promis ?
    
    — Promis. Juste un tout petit câlin de rien du ...
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