1. La fusion des corps


    Datte: 22/08/2019, Catégories: fh, fplusag, extracon, amour, noculotte, Oral nopéné, tutu, amourpass, Auteur: Lamoureux, Source: Revebebe

    ... tirant avec lui sur ta poitrine. Je veux te torturer, je veux t’aimer. Je repose ma main à plat et empaume ce sein. Puis je me penche à nouveau. Ma bouche s’approche du mamelon. Ma langue sort de son écrin et vient subtilement se poser sur le téton, comme pour l’humidifier. Ma langue joue avec, le fait tourner. Je pose ma bouche et viens gober ce petit morceau de chair. J’étais ton ami, je suis ton amant, je suis le fils qui tète sa mère, je suis l’amoureux qui veut posséder son étoile. Je veux t’embrasser, te mordre, te lécher, te faire l’amour, te caresser, te peloter, te pénétrer, te sodomiser, t’enlacer, t’éreinter, te renverser, t’aimer. Je ne veux que toi, je te veux toute à moi. Je reste de longues minutes à jouer avec tes mamelons, et puis je me redresse et t’embrasse à nouveau fougueusement.
    
    — J’adore quand tu me regardes comme ça. J’adore ton regard lorsque je t’embrasse. On t’a déjà dit que tu avais un regard coquin ?
    — Non, enfin je sais pas.
    — Menteuse, je suis certain qu’on te l’a déjà dit. Quand tu me regardes comme cela, je sais que je ne pourrai pas te résister. C’est terrible. J’ai le sentiment que je vais être ta prochaine victime. Je ne connais pas un homme qui saurait t’affronter sans succomber.
    — C’est ce que m’a dit ma mère un jour, que j’avais un regard à affoler les hommes.
    — Tu ne les affole pas, tu les rends amoureux.
    — Ils ne sont pas tous comme toi, aussi fous.
    — C’est parce qu’ils ne connaissent pas tous.
    — Pfffffffffffff, tu délires. ...
    ... En tout cas, viens me dire bonjour comme ça tous les jours, tu feras de moi la plus heureuse des femmes.
    — Je ne demande pas mieux.
    
    Nous prenons un café pour nous calmer un peu. Les enfants ne vont pas tarder à rentrer de l’école. Exceptionnellement je vais rester manger avec vous. Il ne rentre pas avant ce soir. Le repas se passe vite, puis ils repartent. Nous les regardons s’en aller par la fenêtre, je suis collé à toi. Tu sens mon sexe durci sur tes fesses. Nos sens vont reprendre vie. Tu te retournes, je m’assieds sur la première chaise qui vient. Tu t’assois sur moi à califourchon. Nos bouches et nos langues se retrouvent, tu penches un peu la tête, de sorte que nous soyons imbriqués un peu plus. La tension sexuelle monte encore entre nous. Je vais exploser, c’est sûr. Nos gestes sont désordonnés, il n’y a plus de pilote dans l’avion. Et soudain un énorme craquement ; je sens la chaise qui se plie sous mon poids. Par réflexe, je lance la main gauche vers le sol tandis que de la main droite je te retiens pour que tu ne tombes pas. J’arrive à tenir car mes deux pieds sont au sol, mais je dois quand même supporter nos deux corps. Nous voilà donc dans une position particulièrement difficile à accomplir volontairement. Tu m’aides enfin, en réussissant à te poser par terre. J’ai honte de le dire mais lorsque tu te redresses, je suis soulagé. Je me relève. Nous nous regardons et éclatons de rire.
    
    — Elle est morte ?
    — Ah là oui, je pense qu’elle est morte. Elle devait pas ...
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