1. La fusion des corps


    Datte: 22/08/2019, Catégories: fh, fplusag, extracon, amour, noculotte, Oral nopéné, tutu, amourpass, Auteur: Lamoureux, Source: Revebebe

    Suite de l’histoire commencée avec le récit n°15862 où je pars à la découverte du corps de la femme que j’aime tant.
    
    Les jours passent ensuite très vite, notre liaison va durer quelques mois dans un premier temps. Puis nous nous reverrons pour des amours clandestines qui finalement vont se dérouler sur quelques années de nos vies. J’ai eu d’autres femmes bien sûr, j’en ai désiré beaucoup et pourtant jamais je n’ai ressenti cela pour une autre. Deux phénomènes mécaniques se déclenchaient à ton contact : dès lors que tu me touchais, mon cœur s’accélérait et je ressentais des battements si forts dans la poitrine ; de cela je ne pouvais déduire qu’une seule chose : j’étais follement amoureux de toi. Et puis quelque chose qui me ramenait à ma simple condition d’homme : je ne compte plus les érections qui m’ont perturbé en ta présence en tous lieux et en toutes circonstances. Certaines furent même gênantes : je me souviens de ce jour où je t’appelai dans un lieu public (nous étions encore au temps des cabines) en costume, et le simple fait d’entendre la chaleur de ta voix, ton timbre que j’aimais tant me bouleversa et me provoqua une telle érection que j’eus toutes les peines du monde à sortir de la cabine : je ne pouvais dissimuler le chapiteau que formait mon pantalon de costume. Amour et désir. Le cœur et le corps. La passion et l’envie. Nous nous voyions toujours le vendredi ou le samedi soir pour faire la fête, mais nous avions trouvé un créneau où nous étions tranquille ...
    ... : nous pouvions nous voir presque tous les matins, tu étais seule chez toi. Je me souviens.
    
    Je sonne pour te signaler que c’est moi et j’ouvre la porte d’entrée. Je rentre directement dans la cuisine où tu te trouves. Tu es encore dans le pyjama que tu portais cette nuit. Tu es debout sur un tabouret à nettoyer ton four qui se trouve en hauteur. Je m’approche, encore et encore. Je suis maintenant à quelques centimètres de toi, je pourrais facilement embrasser tes fesses si elles n’étaient pas couvertes. Tu te retournes. Nous nous regardons, nous nous scrutons, nous nous taisons. Nous sommes l’un et l’autre au bord d’une explosion sensuelle et pour autant nous ne bougeons pas. L’intensité de ton regard me brûle. Je suis incandescent. Tu me souris joliment. Soufflant le tiède.
    
    — Bonjour
    — Bonjour, ma belle.
    
    Tu tends tes bras, tes mains se posent sur mes épaules, tu descends du tabouret, en te penchant sur moi, nous sommes collés l’un à l’autre, je te serre très fort. Puis nous nous embrassons. Tes lèvres sont humides et chaudes, je veux les dévorer. Je vais chercher ta langue, je fouille ta bouche. Nous restons suspendus de longues minutes comme cela, unis par ce ballet furieux. Mes mains ne sont pas en reste, puisqu’elles vont et viennent à la découverte de ton corps. D’abord le dos, qu’elles parcourent en tous sens, quelquefois légèrement et puis soudain viennent presser à un endroit ou à un autre pour ne jamais te laisser au repos. Elles veulent te rendre folle de ...
«1234...»