1. TABLE DE SAPIN 7


    Datte: 22/08/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... l’accoutumé. Cela était dû à mon désir de la baiser. Il me semblait même que les rues s’agrandissaient pour m’empêcher d’arrivé au plus vite jusqu’à elle.
    
    Jamais je n’avais été aussi réjoui de m’arrêter devant la grille. À mon arrivé, elle se tenait dans sa cuisine. Sourire aux lèvres. J’y lisais de la jubilation. Incapable de résister à mes sens bouleversés, je la fis se coucher sur la table de sapin.
    
    - Oh ! Alain ! Gémit-elle doucement, alors que je retroussais sa jupe jusqu’à la taille. Dessous elle portait son éternel collant couleur chair. Les mailles de son entrejambe étaient obstruées par l’abondance des sécrétions vaginales. Elle a soulevé ses fesses, afin de me permettre de le lui soutirer. J’ai laissé tomber pantalon et slip à mes chevilles. Puis je me suis enfoncé en elle. Son con était comme toujours onctueux. Comme souvent chez elle, sa respiration s’est accélérée. Malgré son calibre, elle fit roulée ses hanches comme pour précipiter le plaisir. Brusquement elle s’est cabrée laissant échapper des :
    
    - Oui !… Oui !…
    
    J’ai alors besogné, tant que je le pouvais.
    
    - Oui, c’est bon ! Vide-toi, mon bébé ! C’est que du bonheur ! Allez, viens, je veux te sentir juter ! Tout ton jus !
    
    Avec de tels encouragements je ne pouvais que me répandre en elle. De trois à quatre puissantes giclées de sperme. Elle me reçu en hurlant.
    
    - Tu m’as fait vibrer tu sais. Fit Colette. Alors que je m’écartais d’elle. J’en suis toute retournée. Quel plaisir…
    
    J’étais en ...
    ... train de boutonner mon pantalon, quand le carillon s’est fait entendre du côté de l’entrée.
    
    - Qui donc pourrait venir à cette heure ? Fit ma belle-mère en descendant de la table. Elle remit de l’ordre dans sa tenue avant de disparaître de ma vue.
    
    Quand elle réapparut, Jennifer se tenait à son côté.
    
    - Elle est rentrée sans que je l’invite. Quel culot ! Petite dévergondé. - Vous la veille, la ferme. C’est Alain qui m’a dit de venir. Répliqua Jennifer.
    
    - C’est vrai ça ? C’est toi qui l’as invité à venir chez moi ? M’a questionné Colette.
    
    - Peut-être…
    
    Jennifer avait changé de tenue. Elle a noué ses cheveux bruns en deux couettes. Elle portait une jupe plus courte que celle qu’elle avait à midi. Qui lui arrivait au-dessus des bottes. Sur son buste un corsage brodé. Une lueur d’intérêt brilla dans ses yeux. Le silence s’est installé dans la cuisine, alors que la jeune fille, d’un regard brûlant, parcourait les formes de Colette. Dévorant de ses yeux sa lourde poitrine. Colette demeurait immobile. Incapable d’entreprendre quoi que ce soit. Elle avait l’air d’une gamine prit en faute. Puis Jennifer a délaissé sa place pour se coller au dos de Colette toujours immobile. Cette dernière s’est laissé empaumer les seins par-derrière. Sa respiration se fit plus rapide. Puis la jeunette a plongé ses mains sous le chandail de son aînée, qui transie, les bras le long du corps s’est abandonné à ses caresses. Offrant sa poitrine aux mains fureteuses. J’ai bien sûr profité du ...