1. TABLE DE SAPIN 7


    Datte: 22/08/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... poils. L’odeur qui s’en dégagé était délicieusement entêtante. Un fumet âpre et poivré qui me donna immédiatement envie de me gaver de ce sexe comme un malade. J’ai plongé ma langue dans son antre dégoulinant de mouille et je me suis mis à boire tout son jus avant d’aller titiller son gros clito dur et vibrant. L’emprisonnant même entre mes lèvres pour mieux le suçoter. Elle a poussé un cri, alors que son corps s’est arqué sous le coup de fouet de l’orgasme, m’agrippant la tête de ses deux mains pour la plaquer contre son ventre en fusion. Presque qu’à m’étouffer.
    
    J’avais malgré cela des démangeaisons un peu partout. Un vertige d'euphorie. Une décharge d'adrénaline. Mon membre me faisait mal dans mon jeans serré. Mes couilles aussi. J’avais un grand besoin de jouir. J’ai entrainé Jennifer jusqu’au divan. Elle m’a aidé de me délester de tout ce que je portais. Puis elle s’est saisie de ma verge raide, pour m’attirer sur elle. Je me suis enfoncé d’un coup dans son vagin bouillonnant. Tout en allant et venant, je l’embrassais à pleine bouche. La coquine a joui tout de suite. Bruyamment, ce qui m’a déclenché mon éjaculation.
    
    Après quelques minutes de silence, je lui ai suggéré de remettre de l‘ordre dans sa tenue.
    
    - Mes collègues ne vont pas tarder à poindre leur nez. Lui avais-je dit.
    
    Le hasard a fait que j’ai rencontré ma belle-mère dans la rue. Je l’ai salué de deux bises sur les joues.
    
    - Ma fille t’a rendu une visite pendant le déjeuner ?
    
    - Non… pourquoi, ...
    ... elle devait ?
    
    - A bon !
    
    - Je peux savoir pourquoi tu me dis cela.
    
    - Tout simplement par ce que tu sens la chatte.
    
    - Oui, j’ai eu ce midi la visite d’une copine… et…
    
    - Tu n’as pas à te justifier mon cher gendre. Tu ne me dois rien. Seulement à ma fille;
    
    - Oui… mais…
    
    - Nous allons en rester là si tu veux bien.
    
    Après avoir jetée un coup d’œil circulaire autour de nous, et s’être assuré qu‘aucunes oreilles indiscrètes ne pouvaient entendre, elle me murmura :
    
    - Aurais-je droit à ta visite ce soir.
    
    - Et ton mari ?
    
    - Il m’a apprit pendant le déjeuner, qu’après sa partie de pétanque il filera directement à son boulot.
    
    - Que lui arrive-t-il ?
    
    - Je ne sais pas, et pour dire vrai, je m’en fou. Alors ? Ce soir je t’attends, oui ou non ? Sache pour ta gouverne, que j’ai une énorme envie d’avoir ta queue dans ma chatte.
    
    - Je viendrai.
    
    - Chouette ! Alors à ce soir.
    
    - A ce soir.
    
    Au courant de l’après-midi je n’ai pas cessé de penser à notre rencontre. Impatient de la culbuter sur la table de sapin. Après le boulot je me mis en route pour aller rejoindre le domicile de belle-maman. Tranquilliser de ne pas attendre sagement dans ma voiture que mon beau-père veuille bien déserter les lieux pour que j’aille retrouver sa femme. Une personne que je ne portais pas sur mon cœur. C’est peut-être pour cela que je me tapais la belle-mère. Une vengeance comme une autre.
    
    J’ai trouvé que le trajet me menant jusqu’à elle me paraissait plus long qu’à ...
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