L'étudiante sodomisée. (3)
Datte: 10/03/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... les autres qui me tripotaient de toute part.
J’étais aux anges ! Hier encore j’étais pucelle, je n’avais jamais vu de bite en vrai et là, j’en avais quatre rien que pour moi.
— J’vais la monter...
Je le laissai passer, il se releva. A nouveau, je me mis à quatre pattes, il m’agrippa par les hanches et il m’enfila par-derrière. Les deux autres gars me tendaient leur sexe à sucer tandis que Léon, à genoux à côté de moi me pelotait les nichons d’une main et se masturbait de l’autre.
Le patron me déboîtait. Sa queue avait beau être courte, le gars était puissant et il me faisait du bien.
— Elle est pucelle du cul aussi ?
— Oui...
— Mais j’ai bien envie qu’on me sodomise. M’interrompis-je.
— Y a qu’à demander.
— J’veux que ce soit lui. Précisai-je en agrippant la grosse trique du jeune gars.
— T’es folle cocotte. Il va te déchirer. Pour une première fois, faut y aller tout en douceur, pour pas avoir trop mal, après j’t’élargis, c’est important de pas louper la première fois pour avoir envie de recommencer, ma bite a la bonne taille. Continue de t’amuser avec les copains pendant que je te prépare suggéra René.
Je repris donc mes fellations pendant que René me bouffait le cul. Il reçut le renfort de Lucien qui me salivait le trou. Puis l’un d’eux mit du gel dans la raie de mon cul et m’introduisit un doigt, lentement d’ailleurs puis il l’enfonça de plus ne plus profondément, puis mis en deuxième. Il les agitait dans tous les sens. Je ne sentais ...
... aucune douleur mais je ne pouvais pas dire non plus que j’appréciais.
L’autre me faisait la même chose dans la chatte, ce qui était bien meilleur.
Puis il y eut un troisième doigt.
Là, ce fut plus dur. Enfin René mit sa bite contre mon trou. Il essaya d’enfoncer mais, même en s’y prenant doucement, il me fit mal.
— Ah la garce, elle est serrée. J’lui ai pourtant foutu trois doigts... ça devrait passer bordel !
— Attends, on va te la chauffer autrement, tiens garçon, allonge-toi, et toi ma belle, plante-toi sur ce jonc gigantesque. A défaut de l’avoir tout de suite dans le cul, tu vas l’avoir dans la chatte et, vu le calibre, je te promets quand même un bon moment.
Les conseils que Lucien venaient de donner furent immédiatement suivis d’effet. Le jeune type, qui demanda qu’on l’appelle Elie, s’allongea et je m’empalai sur sa bite en me tournant vers lui.
L’engin était de belle taille et, bien que je fusse lubrifiée, je descendis progressivement sur le braquemart qui m’écartait les chairs. Mon vagin s’adapta lentement à la circonférence et à la longueur de l’objet. C’était délicieux. Quand je fus plus à l’aise, je me mis à danser comme une folle sur le pieu gigantesque. Je braillai comme une dingue et invitai ces messieurs à me faire subir les pires outrages. J’attrapai les bites, léchai les couilles, massai mes seins dans un complet désordre.
Quand je fus bien près de l’orgasme, René me prit par les épaules pour que je m’allonge sur le corps d’Elie qui ...