1. L'étudiante sodomisée. (3)


    Datte: 10/03/2018, Catégories: Hétéro Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... tente.
    
    — Ben, rien ne nous le prouve non plus, dit mon cousin.
    
    Je fis néanmoins signe au mec de s’avancer. Lorsqu’il baissa son froc, une énorme tige circoncise en sortit en se balançant.
    
    — Putain, quel teubar ! S’exclama le gros mec ! Jamais vu une tringle aussi grosse ! Et pourtant j’ai des potes bien montés. Elle mesure combien cette merveille ?
    
    — J’sais pas, j’ai pas mesuré !
    
    — T’as pas mesuré ! Mon œil, tous les mecs mesurent leur queue. Oh Lucien ! Cria le gros type, amène ton mètre. T’as un client qui réclame de la capote XXL.
    
    Le type s’approcha.
    
    — Voilà René, mais à vue de nez c’est du 23 – 24. Tiens, approche que je te montre comment faire gamin.
    
    Le jeune étalon s’exécuta et se colla au dit Lucien qui sortit sa bite, droite comme un i.
    
    — Tiens, tu fais comme ça, du gland jusqu’à la base du pubis, tu vois, 13 centimètres et un peu plus. A toi.
    
    Le gars mesura son vit.
    
    — Tiens, un peu plus de 23 qu’est-ce que je disais ?
    
    — Je peux me joindre à vous ? Demanda le bien membré.
    
    Il n’attendit pas la réponse et présenta sa queue.
    
    — On se fait sucer avec une capote René ?
    
    — La petite demoiselle ne croit pas qu’on soit clean...
    
    — René ! Mais c’est le mec le plus réglo que je connaisse, dit Lucien, quant à moi, c’est clean de chez clean, dans ma situation, je peux pas me permettre ou c’est la mort du commerce. On tient à sa réputation.
    
    Il ne m’en fallut pas plus pour débarrasser le mec de sa capote et lécher son zob ...
    ... découvert.
    
    Le caissier approcha donc sa bite, lui aussi. Elle était courte mais très épaisse. Je pouvais l’avaler tout entière comme celle de René. J’allais moins loin avec celle de mon cousin, quant au monstre du jeune type, c’est tout juste si je pouvais dépasser le gland.
    
    J’alternais, les uns après les autres.
    
    — Putain quelle bonne suceuse ! S’exclama Lucien. Elle n’en est pas à son coup d’essai la petite salope !
    
    — Tu parles, je l’ai dépucelée hier soir...
    
    — Et réciproquement répondis-je en cessant de pomper le dard un court instant.
    
    — Vrai ? Hier ? Passe ta langue entre le gland et le prépuce pour voir, pas comme ça, mets la main, voilà, bon, c’est bon ça...
    
    Ils faisaient cercle autour de moi et me pelotaient les seins. L’un d’eux passa derrière moi.
    
    — Mets-toi à genoux cocotte...
    
    Je cédai à la demande de René. Il me tâta le cul puis baissa mon survêt.
    
    — Putain quel cul, quel beau cul !
    
    Il glissa sa main entre mes jambes et me caressa la raie.
    
    — Elle mouille, elle mouille...
    
    Il termina de se foutre à poil, donnant un signal que tout le monde attendait, sauf le taulier, Lucien, qui resta habillé, mais le pantalon sur les chevilles, au cas où un client entrerait. Puis il se mit à me manger les fesses avant de glisser sa langue sur ma rondelle.
    
    — Viens t’asseoir sur ma gueule que j’te bouffe les deux trous...
    
    Je le fis et il se mit à me bouffer les orifices avec frénésie. Sa langue était agile, grosse mobile. Je jubilai.
    
    Je suçai toujours ...
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