Delphine en Bretagne (2)
Datte: 21/08/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Thalderhoff, Source: Xstory
... puis, il s’est passé un truc bizarre !
J’ai soudainement chassé de ma tête comme par enchantement toutes ses idées de soumission, de toutou et d’idiote. "Mon" gérard était là et j’allais en profiter, me faire plaisir, lui faire plaisir et c’était la seule chose qui importait à cet instant.
J’ai caressé ses jambes, ses cuisses, ses fesses en prenant tout mon temps, en m’efforçant de rendre mes caresses les plus agréables possible.
Et puis j’ai caressé son sexe, à travers le tissu, en suivant la forme oblongue qui marquait en biais tout la face de son bas-ventre. J’avais gardé en mémoire (comme l’oublier d’ailleurs) l’aspect de sa bite qu’il m’avait présentée à embrasser, à téter, à sucer, moi qui n’en avait jamais vu une, même pas en photo !
Là aussi j’ai pris mon temps ! C’était trop bon ! Je guettais le bruit de sa respiration. J’étais sur le bon chemin ! Silencieux jusqu’alors, il commençait à respirer plus fort, assez pour que cela s’entende.
Pas question de lui baisser son slip si tôt ! Je l’ai embrassé, léché, l’obligeant à écarter un peu plus ses jambes pour me permettre d’atteindre ses couilles. Le tissu s’imbibait de ma salive et commençait à devenir un peu transparent et plus moulant ! Parfois, je glissais mes mains sur ses fesses, à même la peau, les malaxais, les écartais, lui faisait sentir mes ongles.
Gérard ne disait rien mais son corps parlait pour lui ! De petites vibrations à peine perceptibles, des contractions reflex de ses abdominaux ...
... ou de ses cuisses trahissaient les efforts qu’il faisait pour rester stoïque, ses mains toujours à plat sur la poutre maitresse du grenier.
J’étais assez fière du résultats après un petit quart d’heure de ce régime là !
Le sexe de Gérard réclamait de l’espace, voulait s’échapper de sa prison, prison qui commençait à avoir bien du mal à le contenir. J’ai malicieusement fait exactement ce qu’il fallait pour que l’extrémité parvienne à montrer le bout de son nez en forçant la ceinture élastique. Un tout petit bout du gland décaloté est apparu. Oh, presque rien mais quel régal ! Ma langue ne connaissait plus que lui, ce petit resquilleur qui cherchait de l’air !
Résultat ! La poitrine de Gérard se gonflait et se vidait à un rythme bien plus rapide qu’au début et le bruit de sa respiration s’en ressentait nettement.
Il était temps de calmer le jeu et de passer à autre chose !
Alors, je me suis mise debout. S’en était fini de mes émotions qui me paralysaient, de mes doutes qui me rendaient gauche et stupide. Je n’avais plus qu’une seule ambition : lui faire savoir qui j’étais devenue. Pas la peine de lui dire qu’il y a seulement 24 heures j’étais encore pucelle ! William avait fait de moi une femme et j’entendais bien le lui faire savoir à ce jeune mâle qui se croiyait plus fort que moi. C’était comme si le dieu de l’amour m’avait touché du doigt !
J’ai fixé Gérard, droit dans les yeux. Nos regards se sont affrontés un instant mais je n’ai pas baissé les yeux, ...