1. Balade pas trop loin de Lille et retour


    Datte: 21/08/2019, Catégories: fhh, couplus, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... bourses. C’est très excitant d’avoir une tige toute entière dans la bouche, et qui frôle l’orée de ma gorge, même si je ne suis pas une grande spécialiste des gorges profondes. Je ressors le braquemart plein de salive pour le lécher de haut en bas, perversement.
    
    — Ça te plaît, mon Lapin« çéri » ?
    — Oui… beaucoup… énormément !
    
    Bonne réponse à ma question, car je n’aime pas trop m’activer pour des prunes. Alors, je continue mes diverses petites perversions sur cette tige qui résiste tant bien que mal à mes assauts. Cette fois-ci, je mets le paquet ! Je le suce du haut en bas de sa verge qui vibre, tandis que je lui masse fermement les boules soyeuses. Parfois, je le mordille délicatement le gland, parfois, je l’engloutis à fond, les hommes raffolent de ça. Je sors sa verge pour la câliner, pour la croquer, puis je l’enfourne à nouveau dans ma bouche, sans répits, sans pitié, prépuce tiré à fond pour dégager et révéler au mieux un gland que je taquine intensément, léchant ses formes, épousant de la langue ses courbes, titillant un méat qui suinte déjà.
    
    Au-dessus de ma tête, j’entends à certains soupirs et grognements que Valentin n’y tient plus. Alors ôtant sa queue de ma bouche, je lui lance, d’une voix très vicieuse :
    
    — Laisse-toi aller, mon salaud ! Donne-tout ton jus à ta belle cochonne !
    
    Il sursaute en entendant ce que je viens de lui dire. Je recapture son pieu entre mes lèvres pour lui faire subir les derniers outrages. Un grognement, sa verge qui ...
    ... soubresaute, un raidissement de son corps, puis il explose, déversant son sperme sur ma langue, une grande vague gluante, salée et chaude qui remplit ma bouche, diverses salves que j’avale les unes après les autres, savourant ma victoire, nettoyant sa verge à petits coups, suavement, telle une belle sucette qui faiblit doucement à présent.
    
    Je me relève pour donner un coup de gant de toilette sur ma bouche souillée. Valentin est en appui sur le lavabo, sa queue flasque, respirant à grands coups. Je lui colle un furtif baiser sur la joue avant de m’apprêter à m’enfuir de la salle de bain :
    
    — Tu vois que c’était bon, mon Lapin !
    
    Après une petite claque sur ses fesses, je disparais en riant dans le couloir.
    
    Pascal est revenu du jardin avec un saladier de cerises, je lui en pique quelques-unes, elles sont juteuses à point, et déjà chaudes des rayons de soleil. En parlant de juteux, Valentin vient de sortir de la salle de bain.
    
    — Tu veux des cerises, mon Lapin ?
    — Ça mange des cerises, un lapin ?
    — Ne fais pas ton mauvais esprit !
    
    Valentin s’assied, goûte une cerise, puis en reprend une autre.
    
    — Très bonne, ça change de ce qu’on trouve dans les grandes surfaces !
    — Directement de l’arbre dans ta bouche ! Avec l’aide de Pascal…
    — Merci, Pascal !
    — Pas de quoi, Valentin.
    
    Valentin me regarde parfois d’une étrange œil. Je ne vois pas pourquoi… À chacun son tour de profiter, non ? Pendant un bon quart d’heure nous bavardons de tout et de rien. Puis mon mari sort de ...
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