Balade pas trop loin de Lille et retour
Datte: 21/08/2019,
Catégories:
fhh,
couplus,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... de cette barre bien dure et qui tend le short qui l’abrite tel un chapiteau bien conique.
— Poupoupidouuu !
Je ne sais pas bien pourquoi je viens de chantonner ça, mais curieusement, le mât semble encore plus se dresser ! Je ne comprends pas bien s’il y a cause à effet, ou pas. Soudain je réalise que c’est l’intonation de ma voix, comme quand je lui parlais en caméra et que je faisais des mignonnes cochonneries avec lui, une voix de femme-enfant….
Tu aimes les femmes-enfants ? Tu vas être servi, mon Valentin ! Je ne vais pas te louper ! Alors je prends ma petite voix avec plein de soupirs dedans, et je commence mon attaque en règle :
— Le « zentil » monsieur veut-il que je lui fasse beaucoup de bien par ici ?
Tiens, j’ai inconsciemment zézayé. Tant pis… autant jouer le jeu jusqu’au bout ! Pas de réponse ? Qui ne dit mot consent ! Alors, posément, à travers le tissu, je capture sa tige entre mes doigts afin de bien en apprécier le volume.
— Le« zentil » monsieur bande, on dirait… Humm, que vais-je bien pouvoir faire avec cette« çose » toute dure et tendue ?
— Ça, je me le demande bien, ma Puce…
Je plonge mes deux mains dans son short pour m’emparer de sa tige chaude et frémissante. D’une main, je le branle doucement, tandis que de l’autre, je masse ses testicules. Valentin se laisse faire, immobile, regardant face à lui, comme figé. Bien qu’il tente de rester impassible, j’entends sa respiration qui s’accélère. J’aime sentir quand les hommes commencent ...
... à perdre pied, à se laisser aller, qu’ils soient ainsi entre mes mains…
J’ai envie de plus consistant ! J’abaisse son short tandis que je m’agenouille sur le carrelage. Ce faisant, je dévoile ses belles petites fesses bien fermes sur lesquelles je m’empresse de faire quelques bisous appuyés, tout en recommençant à le masturber. Je pose ma joue contre son cul nu, tandis que mes doigts s’agitent toujours délicatement devant, découvrant puis recouvrant alternativement son gland de son capuchon de fine chair. Durant ce temps, mon autre main continue toujours à jouer avec ses testicules enfermés dans un petit sac bien soyeux… Je me demande quand ces délicates petites boules que je malaxe si agréablement finiront par cracher leurs jus chauds et visqueux…
Je sens que je vais généreusement les aider…
— Retourne-toi, mon Lapin !
Valentin s’exécute, sans mot dire.
À peine le temps d’admirer sa verge qu’elle est déjà entre mes lèvres, telle une grosse sucette que je savoure délicatement. Je joue de ma langue le long des veines que je sens palpiter, je les épouse, les caresse. Puis, posément, j’amorce un mouvement de va-et-vient, faisant glisser toute la tige entre mes lèvres, du gland jusqu’à la base ensevelie dans les poils qui me chatouillent le bout du nez. Plusieurs fois, je suce un nœud écarlate, telle une boule de glace ; plusieurs fois, j’engloutis une barre bien raide. Par amusement et par vice, je force même jusqu’à ce que mes lèvres rentrent en contact avec les ...