L'Éden et après
Datte: 20/08/2019,
Catégories:
f,
fh,
inconnu,
uniforme,
fépilée,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
Auteur: Katzou, Source: Revebebe
... de tomettes rouges et aux meubles anciens, une cuisine de grand-mère, fraîche et douce, un endroit qu’elle aimait bien. La pièce sentait bon, une bassine de fruits macérant dans le sucre était posée sur la cuisinière. Des abricots. Il s’installa à la table, simple, en bois massif et s’assit sur une chaise paillée, confortable. La pièce était claire et agréable, décorée avec goût.
Cette fille était vraiment jolie et pas bégueule en plus, c’était bien la première fois qu’il croisait le chemin de quelqu’un avec si peu d’inhibitions ! Cela lui faisait quelque chose, le provoquait, mais il pensait qu’elle avait raison, il aurait fait pareil, s’il avait pu ! Elle allait certainement prendre une douche et s’habiller !
Il essaya de graver en lui le corps de sylphide qu’elle lui avait dévoilé : ses seins ronds aux aréoles minuscules, son ventre plat et si doux, et aussi son sexe continuellement offert, si lisse, si nu. Il ferma les yeux et revit ses fesses, ses jambes… son regard clair… un bruit le réveilla. Elle revenait. Elle était restée nue ! Son cœur sauta dans sa poitrine, il se sentit heureux.
Elle ressemblait vraiment à une sauvageonne. Son chapeau qu’elle avait gardé de travers lui donnait un air angélique, son visage fin aux yeux clairs était beau, et il s‘y perdait en contemplation, mais il adorait lorsqu’elle se tournait. Il aimait ses fesses, elles étaient vraiment belles, rondes et fines, musclées et fermes, elles étaient petites, hautes et ses cuisses ...
... légèrement écartées s’ouvraient sur son entrejambe, sur le mystère charnu de son sexe, il était aux anges ! Il adorait ce trait dodu au bas de son ventre, cette cicatrice charnelle, cette vallée entrouverte qu’elle lui offrait. Ce ventre dénudé attirait son regard, attisait son désir.
Il l’avait dévorée des yeux quand elle avait monté très lentement l’escalier, admirant la finesse de ses attaches et la longueur vertigineuse de ses jambes. Elle se tenait devant lui, presque timide, appuyée contre le plan de travail, immobile, souriante. Elle avait de la terre partout, à croire qu’elle s’était roulée dedans. Cela ajoutait encore à sa beauté, cela la rendait plus attirante. La situation lui plaisait, l’assommait de désir, cette fille, belle comme le jour, souillée, sale d’avoir touché la terre avec tout son corps le rendait malade d’envie.
Le sol autour d’elle était sale, boueux et il pouvait voir la trace de ses pas dans la cuisine jusqu’à l’escalier qui montait à l’étage. Il imaginait ce qu’elle avait pu faire pour être ainsi couverte de terre, à en avoir entre ses seins, sur ses cuisses, sur son sexe, il la voyait se confronter à la terre nue et sensuelle, il l’imaginait couchée à même la terre fine et chaude de son jardin.
Son sexe durcissait, se tendait malgré lui, il avait une érection et elle devait le voir, car son short d’été n’arrivait pas à la contenir. Il rougit et détourna les yeux de son ventre.
Il se sentit triste, car il crut qu’elle le provoquait par plaisir, ...