1. La tentation d'un quadra (8)


    Datte: 19/08/2019, Catégories: Divers, Auteur: cirrus95, Source: Xstory

    ... mains sur mes fesses à travers le jean. Ça aussi, j’aime bien.
    
    Sa main droite soulève mon blouson et s’insinue dans mon jean, direct sur mes fesses nues.
    
    — T’as les mains froides.
    
    Il va pour retirer sa main, je bloque son mouvement.
    
    — -Laisse, c’est bon.
    
    —
    
    Là, du coup, il n’est plus timide du tout, sa main, il la descend le plus loin possible, il est vite bloqué, mais je sens ses doigts dans la raie. Ça me serre un peu le ventre, mais c’est vachement bon. Je tends mon ventre contre le sien. Qu’est-ce qu’il bande ! J’adore.
    
    Lucie m’a dit qu’il avait une bite d’enfer. Ce coup-ci, elle ne s’est pas foutue de moi, on dirait. Je bouge un peu contre son ventre, on dirait qu’il va exploser.
    
    — -Attends.
    
    Il me repousse doucement, il veut ouvrir mon blouson. Je recule pour m’appuyer contre le mur et je le laisse faire. Il fait très sombre, on ne voit pas grand-chose, pas grave, ce n’est pas ça qui compte. Il m’a pris les seins par-dessus mon pull. Il les pétrit à pleines mains. Il n’est pas très doux, dommage ! et puis ce foutu soutif me gêne, moi qui n’en met pas bien souvent. C’est vraiment con. Je me serre contre lui, je plaque mes lèvres contre les siennes, nos dents s’entrechoquent, ça, pour les baisers, il est super ! Ses mains abandonnent mes seins pour mes fesses de nouveau, il me plaque contre sa queue et c’est lui qui bouge contre mon ventre cette fois.
    
    On est vraiment très serrés, mais il arrive à glisser une main entre nos deux ventres et il ...
    ... la plaque entre mes cuisses. Moi aussi, alors ! Putain qu’est-ce qu’elle est dure ! J’ai la paume de ma main contre sa queue, je la serre à travers le jean, j’essaie de le branler comme ça, mais ça ne me suffit pas. Finalement, je cherche la tirette de sa fermeture, il m’aide. Je la sens bien mieux maintenant à travers le caleçon, je peux promener mes doigts tout au long de la tige, je sens le renflement du gland. Je sens que le fond de ma culotte est tout trempé.
    
    Je suis vraiment très excitée. Je m’arrête pas là : je sors sa queue du caleçon, cette fois je l’ai toute à moi. Plus d’obstacle ! Même ses couilles sont là pour moi, elles ont l’air grosses, gonflées, je les fais rouler un peu entre mes doigts et je remonte le long de sa tige, le gland est décalotté, il me semble gros, mais la peau est douce, mais douce ! Le bout est humide, il mouille... comme moi en fait.
    
    Il reste là, les bras ballants. J’imagine qu’il est tout surpris de ce qui lui arrive. C’est vrai que je n’en ai pas l’air. Je sors complètement sa bite de son jean et de son caleçon et les couilles aussi. Je fais un anneau de mes doigts, je serre un peu, je remonte vers le gland et puis je descends en tirant doucement sur la peau du fourreau. Ça tire sur le prépuce qui est très sensible. Je sais qu’ils aiment ça, c’est Lucie qui me l’a appris, mais j’ai déjà testé et ça marche ! Sa queue est encore plus dure, le bout mouille encore, son souffle est bruyant. Je jette un coup d’œil dans la cour, personne. Je ...